Kurde née à Raqqa le 12 septembre 1988, la trentenaire Leila Mustapha est l'actuelle maire de l'ex-capitale du Califat, située au Nord-Est de la Syrie de Bachar el-Assad et non loin de la Turquie d'Erdo an. Elle porte haut et fort les couleurs d'une "autre" Syrie, tolérante et ouverte.
La femme, la vie, la liberté
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- Nombre de pages232
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-234-08825-2
- EAN9782234088252
- Date de parution29/01/2020
- ÉditeurStock
Résumé
Le 17 avril 2017, Leïla Mustapha est désignée maire de Raqqa, l'ancienne capitale de Daech. Elle est l'unique femme dans une assemblée de 130 hommes. Qui mieux qu'elle, l'enfant de Raqqa, ingénieure en génie civil, trois fois major de sa promotion, non encartée mais engagée par choix et par nécessité, pour reconstruire les ponts, les écoles, les mosquées, les hôpitaux soufflés par les bombardements ? Qui mieux qu'elle, la Kurde, qui a grandi chez et avec les Arabes, dans leurs universités, pour renouer des liens qu'on disait impossibles ? Qui mieux qu'elle enfin, la femme de trente ans, en cheveux et jean slim, pour défendre ses "soeurs" qui ont survécu des années durant comme des esclaves ? Leila n'est pas une combattante, elle n'a pas fait la guerre.
Mais elle a fait la paix. Une paix fragile, douloureuse, menacée par Assad, moquée par l'Occident, balafrée par Erdogan. Ce livre est une photographie, gros plan, d'elle et de son rêve d'Orient échappé du cauchemar.
Mais elle a fait la paix. Une paix fragile, douloureuse, menacée par Assad, moquée par l'Occident, balafrée par Erdogan. Ce livre est une photographie, gros plan, d'elle et de son rêve d'Orient échappé du cauchemar.
Le 17 avril 2017, Leïla Mustapha est désignée maire de Raqqa, l'ancienne capitale de Daech. Elle est l'unique femme dans une assemblée de 130 hommes. Qui mieux qu'elle, l'enfant de Raqqa, ingénieure en génie civil, trois fois major de sa promotion, non encartée mais engagée par choix et par nécessité, pour reconstruire les ponts, les écoles, les mosquées, les hôpitaux soufflés par les bombardements ? Qui mieux qu'elle, la Kurde, qui a grandi chez et avec les Arabes, dans leurs universités, pour renouer des liens qu'on disait impossibles ? Qui mieux qu'elle enfin, la femme de trente ans, en cheveux et jean slim, pour défendre ses "soeurs" qui ont survécu des années durant comme des esclaves ? Leila n'est pas une combattante, elle n'a pas fait la guerre.
Mais elle a fait la paix. Une paix fragile, douloureuse, menacée par Assad, moquée par l'Occident, balafrée par Erdogan. Ce livre est une photographie, gros plan, d'elle et de son rêve d'Orient échappé du cauchemar.
Mais elle a fait la paix. Une paix fragile, douloureuse, menacée par Assad, moquée par l'Occident, balafrée par Erdogan. Ce livre est une photographie, gros plan, d'elle et de son rêve d'Orient échappé du cauchemar.