La Femme de la montagne

Par : Daniel Delomez

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  • Nombre de pages212
  • PrésentationBroché
  • Poids0.279 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,6 cm × 0,0 cm
  • ISBN979-10-262-8773-5
  • EAN9791026287735
  • Date de parution05/07/2021
  • CollectionLIB.LITTERATURE
  • ÉditeurLibrinova

Résumé

Alors en randonnée dans le Massif des Grignères le narrateur décide de s'arrêter à Percelieu, une petite ville de province, pour passer la nuit à l'hôtel. Ne sachant où dîner il sollicite l'avis de l'hôtelier qui lui indique un café-restaurant à l'enseigne "A la Brebis Galeuse" situé non loin de là, sur la place de la Ferblanterie, en face de l'église Saint Victorien. "C'était autrefois un bistrot" lui précise-t-il.
L'homme s'y rend aussitôt et fait la connaissance du tenancier et de son épouse, Janselme et Bernardine Monfranquin, qui l'invitent à partager le repas du soir après avoir sympathisé autour d'un verre d'apéritif. Au cours du dîner Janselme évoque des évènements de sa vie passée. Et d'abord l'accident mortel survenu à un gars du pays, surnommé le beau Paul, lors d'une escalade dans la montagne. Il parle ensuite de la vie montagnarde et du "village d'en haut" , qui s'est agrandi au fil du temps pour finir écrasé sous un énorme éboulement.
Des rumeurs, nous dit-il, se sont répandues à ce sujet après la catastrophe. Le père Binet a fait allusion à un évènement qui s'est produit le jour du drame, un évènement qu'est venu confirmer Auguste Pivron, un habitué du bistrot. Même le père Glanesse a essuyé une larme devant son verre de vin vide... L'ambiance était pourtant bonne à la Brebis Galeuse. On aimait s'y retrouver pour bavarder et jouer aux cartes...
Alors en randonnée dans le Massif des Grignères le narrateur décide de s'arrêter à Percelieu, une petite ville de province, pour passer la nuit à l'hôtel. Ne sachant où dîner il sollicite l'avis de l'hôtelier qui lui indique un café-restaurant à l'enseigne "A la Brebis Galeuse" situé non loin de là, sur la place de la Ferblanterie, en face de l'église Saint Victorien. "C'était autrefois un bistrot" lui précise-t-il.
L'homme s'y rend aussitôt et fait la connaissance du tenancier et de son épouse, Janselme et Bernardine Monfranquin, qui l'invitent à partager le repas du soir après avoir sympathisé autour d'un verre d'apéritif. Au cours du dîner Janselme évoque des évènements de sa vie passée. Et d'abord l'accident mortel survenu à un gars du pays, surnommé le beau Paul, lors d'une escalade dans la montagne. Il parle ensuite de la vie montagnarde et du "village d'en haut" , qui s'est agrandi au fil du temps pour finir écrasé sous un énorme éboulement.
Des rumeurs, nous dit-il, se sont répandues à ce sujet après la catastrophe. Le père Binet a fait allusion à un évènement qui s'est produit le jour du drame, un évènement qu'est venu confirmer Auguste Pivron, un habitué du bistrot. Même le père Glanesse a essuyé une larme devant son verre de vin vide... L'ambiance était pourtant bonne à la Brebis Galeuse. On aimait s'y retrouver pour bavarder et jouer aux cartes...