La famille japonaise moderne (1868-1926). Discours et débat

Par : Christian Galan, Emmanuel Lozerand

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  • Nombre de pages670
  • PrésentationBroché
  • Poids0.95 kg
  • Dimensions23,0 cm × 14,5 cm × 3,4 cm
  • ISBN978-2-8097-0201-9
  • EAN9782809702019
  • Date de parution02/06/2011
  • ÉditeurPhilippe Picquier
  • PréfacierCarol Gluck

Résumé

Le Japon, société patriarcale, immuablement déterminée par une vision hiérarchique et autoritaire de la famille ? Face aux stéréotypes imperturbables, une approche historique s'impose. Car, en réalité, plusieurs visions de la famille japonaise se sont mises en place à partir de la fin du XIXe siècle. Souvent importées d'Occident, mais aussi articulées sur des pratiques anciennes, réelles ou supposées, elles-mêmes variables et contradictoires, ces visions de la famille ont pu prendre la forme de discours et de débats d'idées passionnés, au coeur d'un espace public structuré par une presse puissante.
Elles se sont parfois incarnées dans des textes de loi ou des manuels scolaires contrôlés par l'Etat. Elles ont aussi constitué un thème de prédilection pour les grands écrivains de l'époque. Pour contribuer à l'étude de ces mutations, le groupe de recherche " Discours et débats de l'ère Meiji " (DDEM) du Centre d'études japonaises (CEJ) de l'Inalco (les " Langues O' ") a rassemblé pendant cinq ans une vingtaine de chercheurs sous la direction de Christian Galan et Emmanuel Lozerand.
Qu'il s'agisse de questions institutionnelles, juridiques, sociales et médicales, mais aussi émotionnelles, sexuelles ou morales, une attention constante a été portée aux différents acteurs de ces évolutions: hommes et femmes, pères, mères et enfants. A travers la question de la famille, c'est toute la dynamique du Japon moderne, avec ses bouleversements et ses innovations, qui apparaît ici en pleine lumière.
Le Japon, société patriarcale, immuablement déterminée par une vision hiérarchique et autoritaire de la famille ? Face aux stéréotypes imperturbables, une approche historique s'impose. Car, en réalité, plusieurs visions de la famille japonaise se sont mises en place à partir de la fin du XIXe siècle. Souvent importées d'Occident, mais aussi articulées sur des pratiques anciennes, réelles ou supposées, elles-mêmes variables et contradictoires, ces visions de la famille ont pu prendre la forme de discours et de débats d'idées passionnés, au coeur d'un espace public structuré par une presse puissante.
Elles se sont parfois incarnées dans des textes de loi ou des manuels scolaires contrôlés par l'Etat. Elles ont aussi constitué un thème de prédilection pour les grands écrivains de l'époque. Pour contribuer à l'étude de ces mutations, le groupe de recherche " Discours et débats de l'ère Meiji " (DDEM) du Centre d'études japonaises (CEJ) de l'Inalco (les " Langues O' ") a rassemblé pendant cinq ans une vingtaine de chercheurs sous la direction de Christian Galan et Emmanuel Lozerand.
Qu'il s'agisse de questions institutionnelles, juridiques, sociales et médicales, mais aussi émotionnelles, sexuelles ou morales, une attention constante a été portée aux différents acteurs de ces évolutions: hommes et femmes, pères, mères et enfants. A travers la question de la famille, c'est toute la dynamique du Japon moderne, avec ses bouleversements et ses innovations, qui apparaît ici en pleine lumière.
L'appel à l'étude
Fukuzawa Yukichi
E-book
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