La faiblesse en droit. Actes du colloque des doctorants et jeunes docteurs de l'Ecole doctorale des Sciences juridiques Strasbourg, le 13 décembre 2018

Par : Maria Konstantina Kiapekaki, Stefanos Gakis, N. Kansu Okyay, Romain Place, Mathieu Perrin
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  • Nombre de pages284
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.46 kg
  • Dimensions15,7 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-84934-449-1
  • EAN9782849344491
  • Date de parution03/09/2020
  • CollectionDroit & science politique
  • ÉditeurMare et Martin Editions

Résumé

Le droit, discipline dote ? e de sa propre langue, rend indispensable la connaissance du sens des mots qui la constituent. Dans son acception générale, la faiblesse renvoie au manque de force ou de vigueur physique, a` la fragilite ? , la che ? tivete ? , ou la de ? faillance, a` la de ? ficience psychique, a` une carence, une insuffisance, une imperfection, au manque d'autorite ? , de pouvoir ou de puissance, ou encore aux caracte`res de ce qui est peu conside ? rable et peu abondant.
Or, rares sont les cas dans lesquels notre corpus normatif use, litte ? ralement, de l'expression de faiblesse ou de l'adjectif faible. Le concept de faiblesse est-il pour autant absent du droit ? Les travaux de ce colloque ont souhaité en démontrer le contraire. De ? pourvue de de ? finition, de ? nue ? e de re ? gime ge ? ne ? ral, bien souvent connote ? e pe ? jorativement, la faiblesse inspire ne ? anmoins les juristes.
Les doctorants et jeunes docteurs rassemblés pour cette journée de réflexion ont démontré que si la notion de faiblesse est polysémique, elle remplit également des fonctions stratégique et critique pour le droit.
Le droit, discipline dote ? e de sa propre langue, rend indispensable la connaissance du sens des mots qui la constituent. Dans son acception générale, la faiblesse renvoie au manque de force ou de vigueur physique, a` la fragilite ? , la che ? tivete ? , ou la de ? faillance, a` la de ? ficience psychique, a` une carence, une insuffisance, une imperfection, au manque d'autorite ? , de pouvoir ou de puissance, ou encore aux caracte`res de ce qui est peu conside ? rable et peu abondant.
Or, rares sont les cas dans lesquels notre corpus normatif use, litte ? ralement, de l'expression de faiblesse ou de l'adjectif faible. Le concept de faiblesse est-il pour autant absent du droit ? Les travaux de ce colloque ont souhaité en démontrer le contraire. De ? pourvue de de ? finition, de ? nue ? e de re ? gime ge ? ne ? ral, bien souvent connote ? e pe ? jorativement, la faiblesse inspire ne ? anmoins les juristes.
Les doctorants et jeunes docteurs rassemblés pour cette journée de réflexion ont démontré que si la notion de faiblesse est polysémique, elle remplit également des fonctions stratégique et critique pour le droit.