La face cachée de Cousteau
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- Nombre de pages235
- PrésentationBroché
- Poids0.36 kg
- Dimensions14,4 cm × 20,6 cm × 1,7 cm
- ISBN2-84213-015-4
- EAN9782842130152
- Date de parution01/05/1996
- ÉditeurOdilon Média
Résumé
Avec son médiatique bonnet rouge, qu'il n'a pas choisi au hasard, puisqu'il était auparavant le signe de ralliement des bagnards, Jacques-Yves Cousteau est devenu, selon les multiples enquêtes d'opinion, l'un des deux personnages préférés des Français.
Ce sentiment est si profondément ancré, ce qui n'est pas illogique pour un marin, que d'aucuns préfèrent entretenir une gloire médiatique en forme d'image d'Epinal et ne pas revenir sur quelques épisodes douloureux comme l'échec retentissant du Parc Océanique Cousteau installé aux Halles, dont il aura constitué le second trou. Le Commandant, sans doute est-ce la rançon des longues années qu'il passa aux Etats-Unis, après avoir connu quelques démêlés avec la Cour des Comptes, au milieu de la décennie 70, à propos de la gestion de son association de l'époque, croyait que les requins et les baleines en plastique répondraient à l'attente des enfants.
Erreur étonnante d'un homme qui a toujours su profiter de la situation et se, couvrir d'honneurs, notamment en se faisant élire à l'Académie Française, le fin du fin pour l'ex-adolescent dont les professeurs relevaient que l'orthographe n'était pas son point fort.
Ce livre n'est pas un réquisitoire contre Cousteau. Il lui redonne même une dimension humaine en cessant d'en faire une idole et en rappelant tout ce qu'il doit à ses proches, notamment sa première épouse Simone. Mettre un terme à la légende, c'est démontrer que le Commandant n'a jamais été océanographe, qu'il ne fut pas réellement un cinéaste et encore moins un écrivain, qu'il n'a rien d'un inventeur génial, mais qu'il a parfaitement su exploiter à son profit les inventions des autres ou ses parer de leurs exploits.
Avec son médiatique bonnet rouge, qu'il n'a pas choisi au hasard, puisqu'il était auparavant le signe de ralliement des bagnards, Jacques-Yves Cousteau est devenu, selon les multiples enquêtes d'opinion, l'un des deux personnages préférés des Français.
Ce sentiment est si profondément ancré, ce qui n'est pas illogique pour un marin, que d'aucuns préfèrent entretenir une gloire médiatique en forme d'image d'Epinal et ne pas revenir sur quelques épisodes douloureux comme l'échec retentissant du Parc Océanique Cousteau installé aux Halles, dont il aura constitué le second trou. Le Commandant, sans doute est-ce la rançon des longues années qu'il passa aux Etats-Unis, après avoir connu quelques démêlés avec la Cour des Comptes, au milieu de la décennie 70, à propos de la gestion de son association de l'époque, croyait que les requins et les baleines en plastique répondraient à l'attente des enfants.
Erreur étonnante d'un homme qui a toujours su profiter de la situation et se, couvrir d'honneurs, notamment en se faisant élire à l'Académie Française, le fin du fin pour l'ex-adolescent dont les professeurs relevaient que l'orthographe n'était pas son point fort.
Ce livre n'est pas un réquisitoire contre Cousteau. Il lui redonne même une dimension humaine en cessant d'en faire une idole et en rappelant tout ce qu'il doit à ses proches, notamment sa première épouse Simone. Mettre un terme à la légende, c'est démontrer que le Commandant n'a jamais été océanographe, qu'il ne fut pas réellement un cinéaste et encore moins un écrivain, qu'il n'a rien d'un inventeur génial, mais qu'il a parfaitement su exploiter à son profit les inventions des autres ou ses parer de leurs exploits.