La Duchesse Du Maine. Louise-Benedicte De Bourbon, Princesse De Conde
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- Nombre de pages403
- PrésentationBroché
- Poids0.565 kg
- Dimensions15,4 cm × 24,0 cm × 2,8 cm
- ISBN2-85704-578-6
- EAN9782857045786
- Date de parution13/04/1999
- ÉditeurPygmalion Editions
Résumé
Depuis plus de deux siècles, Louise-Bénédicte de Bourbon passe pour la femme la plus turbulente de son temps. Petite-fille du Grand Condé, épouse du duc du Maine, fils favori de Louis XIV, elle n'a jamais cessé de susciter les enthousiasmes, les passions et les critiques. Ses fêtes de Sceaux, fastueuses et flamboyantes, ont illuminé les dernières années du règne du Roi Soleil. Sa conspiration contre Philippe d'Orléans a distillé sur la Régence un parfum de comédie. Son esprit d'indépendance, son anticonformisme et ses fantaisies ont provoqué les fureurs de Saint-Simon.
Mais sous ce masque étincelant - une autre femme se cache. Si elle dévore la vie à belles dents, madame du Maine est également une femme d'honneur, d'esprit et de goût. Son rang, la grandeur de son nom, elle les défend bec et ongles. Toujours en mouvement, elle se montre à la fois muse et mécène. Curieuse de tout, bouillonnante d'imagination, elle exige et inspire la création. Sous son impulsion, le théâtre et la tragédie renaissent, l'opéra se renouvelle, la peinture retrouve un nouveau souffle.
A vingt ans, elle est l'élève de La Bruyère, à quarante, elle soutient le jeune Voltaire, et à soixante-dix, elle le contraint à écrire ses fameux Contes philosophiques. Les plus grands esprits de son temps la courtisent : Bossuet, Fontenelle, Marivaux, mais aussi Montesquieu, Réaumur et d'Alembert. Depuis les Caractères jusqu'à Zadig, sur plus d'un demi-siècle, Louise-Bénédicte de Bourbon va laisser sa marque.
Voilà une vie menée tambour battant, riche et foisonnante ; un grand souffle vibrant de volonté et d'ardeur. Voilà une femme d'exception, haute en couleur, éblouissant trait d'union entre le Siècle des Lumières et le Grand Siècle.
Depuis plus de deux siècles, Louise-Bénédicte de Bourbon passe pour la femme la plus turbulente de son temps. Petite-fille du Grand Condé, épouse du duc du Maine, fils favori de Louis XIV, elle n'a jamais cessé de susciter les enthousiasmes, les passions et les critiques. Ses fêtes de Sceaux, fastueuses et flamboyantes, ont illuminé les dernières années du règne du Roi Soleil. Sa conspiration contre Philippe d'Orléans a distillé sur la Régence un parfum de comédie. Son esprit d'indépendance, son anticonformisme et ses fantaisies ont provoqué les fureurs de Saint-Simon.
Mais sous ce masque étincelant - une autre femme se cache. Si elle dévore la vie à belles dents, madame du Maine est également une femme d'honneur, d'esprit et de goût. Son rang, la grandeur de son nom, elle les défend bec et ongles. Toujours en mouvement, elle se montre à la fois muse et mécène. Curieuse de tout, bouillonnante d'imagination, elle exige et inspire la création. Sous son impulsion, le théâtre et la tragédie renaissent, l'opéra se renouvelle, la peinture retrouve un nouveau souffle.
A vingt ans, elle est l'élève de La Bruyère, à quarante, elle soutient le jeune Voltaire, et à soixante-dix, elle le contraint à écrire ses fameux Contes philosophiques. Les plus grands esprits de son temps la courtisent : Bossuet, Fontenelle, Marivaux, mais aussi Montesquieu, Réaumur et d'Alembert. Depuis les Caractères jusqu'à Zadig, sur plus d'un demi-siècle, Louise-Bénédicte de Bourbon va laisser sa marque.
Voilà une vie menée tambour battant, riche et foisonnante ; un grand souffle vibrant de volonté et d'ardeur. Voilà une femme d'exception, haute en couleur, éblouissant trait d'union entre le Siècle des Lumières et le Grand Siècle.