La duchesse de Galliera
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- Nombre de pages144
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.001 kg
- Dimensions0,1 cm × 0,1 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-84811-563-4
- EAN9782848115634
- Date de parution02/12/2022
- ÉditeurFalaises (Editions des)
Résumé
Si le musée Galliera est un lieu familier pour les amateurs de costume, bien peu connaissent, en revanche, qui se cache derrière ce nom aux sonotités italiennes. C'est bien une Italienne Maria Brignole Sale, duchesse de Galliera (1811-1888), qui a donné son nom au musée, et c'est elle aussi qui est à l'origine de la création du bâtiment qui l'abrite. Isuue d'une illustre famille patricienne, elle se marie en 1828 avec le marquis Raffaelle De Ferrari, duc de Galliera, homme d'affaires habile et entreprenant, qui allait en faire, une des premières fortunes d'Europe.
A la mort du duc (1876), sa veuve se trouva à la tête d'une incalculable fortune dont son fils ne voulait pas ; elle passa les dernières années de sa vie à dépenser sans compter, distribuant à l'envie les millions pour créer des hôpitaux, des hospices, des orphelinats, aussi bien à Paris qu'à Gênes. Elle avait aussi caressé l'idée de laisser à la France une partie des collections d'oeuvres d'art réunis à l'hôtel Matignon, issus aussi bien des collections familiales anciennes que des achats du duc dans les grandes ventes parisiennes.
Pour cela, elle entreprit la construction d'un musée spécifique, destiné à abriter cette collection. La loi d'exil, votée en 1886, changea tous ses projets. Elle a dû modifier son testament, faisant de la ville de Gênes le destinataire de ces collections. Le bâtiment destiné à abriter la collection Galliera n'était pas terminé à la mort de la duchesse, mais elle avait laissé une somme suffisante pour permettre qu'il fût achevé.
Ainsi, la ville de Paris se trouva bientôt en possession d'un palais fastueux, mais complètement vide. Après diverses utilisations, le bâtiment fut définitivement attribué, en 1977, au musée du Costume, et maintenant de la Mode. 2. 11.
A la mort du duc (1876), sa veuve se trouva à la tête d'une incalculable fortune dont son fils ne voulait pas ; elle passa les dernières années de sa vie à dépenser sans compter, distribuant à l'envie les millions pour créer des hôpitaux, des hospices, des orphelinats, aussi bien à Paris qu'à Gênes. Elle avait aussi caressé l'idée de laisser à la France une partie des collections d'oeuvres d'art réunis à l'hôtel Matignon, issus aussi bien des collections familiales anciennes que des achats du duc dans les grandes ventes parisiennes.
Pour cela, elle entreprit la construction d'un musée spécifique, destiné à abriter cette collection. La loi d'exil, votée en 1886, changea tous ses projets. Elle a dû modifier son testament, faisant de la ville de Gênes le destinataire de ces collections. Le bâtiment destiné à abriter la collection Galliera n'était pas terminé à la mort de la duchesse, mais elle avait laissé une somme suffisante pour permettre qu'il fût achevé.
Ainsi, la ville de Paris se trouva bientôt en possession d'un palais fastueux, mais complètement vide. Après diverses utilisations, le bâtiment fut définitivement attribué, en 1977, au musée du Costume, et maintenant de la Mode. 2. 11.
Si le musée Galliera est un lieu familier pour les amateurs de costume, bien peu connaissent, en revanche, qui se cache derrière ce nom aux sonotités italiennes. C'est bien une Italienne Maria Brignole Sale, duchesse de Galliera (1811-1888), qui a donné son nom au musée, et c'est elle aussi qui est à l'origine de la création du bâtiment qui l'abrite. Isuue d'une illustre famille patricienne, elle se marie en 1828 avec le marquis Raffaelle De Ferrari, duc de Galliera, homme d'affaires habile et entreprenant, qui allait en faire, une des premières fortunes d'Europe.
A la mort du duc (1876), sa veuve se trouva à la tête d'une incalculable fortune dont son fils ne voulait pas ; elle passa les dernières années de sa vie à dépenser sans compter, distribuant à l'envie les millions pour créer des hôpitaux, des hospices, des orphelinats, aussi bien à Paris qu'à Gênes. Elle avait aussi caressé l'idée de laisser à la France une partie des collections d'oeuvres d'art réunis à l'hôtel Matignon, issus aussi bien des collections familiales anciennes que des achats du duc dans les grandes ventes parisiennes.
Pour cela, elle entreprit la construction d'un musée spécifique, destiné à abriter cette collection. La loi d'exil, votée en 1886, changea tous ses projets. Elle a dû modifier son testament, faisant de la ville de Gênes le destinataire de ces collections. Le bâtiment destiné à abriter la collection Galliera n'était pas terminé à la mort de la duchesse, mais elle avait laissé une somme suffisante pour permettre qu'il fût achevé.
Ainsi, la ville de Paris se trouva bientôt en possession d'un palais fastueux, mais complètement vide. Après diverses utilisations, le bâtiment fut définitivement attribué, en 1977, au musée du Costume, et maintenant de la Mode. 2. 11.
A la mort du duc (1876), sa veuve se trouva à la tête d'une incalculable fortune dont son fils ne voulait pas ; elle passa les dernières années de sa vie à dépenser sans compter, distribuant à l'envie les millions pour créer des hôpitaux, des hospices, des orphelinats, aussi bien à Paris qu'à Gênes. Elle avait aussi caressé l'idée de laisser à la France une partie des collections d'oeuvres d'art réunis à l'hôtel Matignon, issus aussi bien des collections familiales anciennes que des achats du duc dans les grandes ventes parisiennes.
Pour cela, elle entreprit la construction d'un musée spécifique, destiné à abriter cette collection. La loi d'exil, votée en 1886, changea tous ses projets. Elle a dû modifier son testament, faisant de la ville de Gênes le destinataire de ces collections. Le bâtiment destiné à abriter la collection Galliera n'était pas terminé à la mort de la duchesse, mais elle avait laissé une somme suffisante pour permettre qu'il fût achevé.
Ainsi, la ville de Paris se trouva bientôt en possession d'un palais fastueux, mais complètement vide. Après diverses utilisations, le bâtiment fut définitivement attribué, en 1977, au musée du Costume, et maintenant de la Mode. 2. 11.