La douceur de la vie

Par : Paulus Hochgatterer
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  • Nombre de pages307
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.164 kg
  • Dimensions10,9 cm × 17,9 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-7578-3302-5
  • EAN9782757833025
  • Date de parution09/05/2014
  • CollectionPoints Roman noir
  • ÉditeurPoints
  • TraducteurFrançoise Kenk

Résumé

A Furth, confins de l'Autriche, un vieillard est retrouvé le visage broyé. Un seul témoin : sa petite-fille, devenue mutique. Aidé du psychiatre Raffael Horn, le commissaire Louis Kovacs enquête dans le village : entre les animaux mutilés et les enfants maltraités, un psychotique se prend pour Dark Vador et le prêtre croit que Bob Dylan est Jésus réincarné... Furth la paisible cache-t-elle l'horreur au quotidien ?
A Furth, confins de l'Autriche, un vieillard est retrouvé le visage broyé. Un seul témoin : sa petite-fille, devenue mutique. Aidé du psychiatre Raffael Horn, le commissaire Louis Kovacs enquête dans le village : entre les animaux mutilés et les enfants maltraités, un psychotique se prend pour Dark Vador et le prêtre croit que Bob Dylan est Jésus réincarné... Furth la paisible cache-t-elle l'horreur au quotidien ?

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Ne jamais se fier aux paysages
Le roman s’ouvre classiquement sur le crime odieux d’un vieil homme à qui son meurtrier a quasiment supprimé le visage avec une rage et une haine rares. Près du corps sa petite fille Catherine une enfant de six ou sept ans que la découverte a rendu mutique et qui garde enfermés dans sa main, deux petits objets comme si sa vie en dépendait. Nous sommes à Furth en Basse Autriche une petite ville comme les autres avec son lac, son hôpital et son église, une ville figée, repliée sur elle-même. Je suis très discrète sur l’intrigue que je vous laisse découvrir. Ce livre est une étude sociale autant qu’un polar, le récit est construit très intelligemment, il fait par petites touches monter un sentiment d’inquiétude. Un critique allemand le compare à « des chocolats empoisonnés ». Un portrait en profondeur et sans concession de la société autrichienne qui nous dit qu’il ne faut pas se fier au charme des paysages de montagne.
Le roman s’ouvre classiquement sur le crime odieux d’un vieil homme à qui son meurtrier a quasiment supprimé le visage avec une rage et une haine rares. Près du corps sa petite fille Catherine une enfant de six ou sept ans que la découverte a rendu mutique et qui garde enfermés dans sa main, deux petits objets comme si sa vie en dépendait. Nous sommes à Furth en Basse Autriche une petite ville comme les autres avec son lac, son hôpital et son église, une ville figée, repliée sur elle-même. Je suis très discrète sur l’intrigue que je vous laisse découvrir. Ce livre est une étude sociale autant qu’un polar, le récit est construit très intelligemment, il fait par petites touches monter un sentiment d’inquiétude. Un critique allemand le compare à « des chocolats empoisonnés ». Un portrait en profondeur et sans concession de la société autrichienne qui nous dit qu’il ne faut pas se fier au charme des paysages de montagne.