La Deesse Sauvage. Les Divinites Feminines : Meres Et Prostituees, Magiciennes Et Initiatrices, 2eme Edition 1996
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages292
- PrésentationBroché
- Poids0.455 kg
- Dimensions15,1 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
- ISBN2-7033-0388-2
- EAN9782703303886
- Date de parution01/01/1996
- CollectionGrand angle
- ÉditeurDangles
Résumé
D'Isis à Déméter, en passant par Ishtar, Cybèle, Aphrodite, Hécate, Athéna, Lilith... et bien d'autres, il existe d'innombrables figures féminines toutes-puissantes : les Déesses mères, déesses de fertilité et de fécondité, qui ont marqué l'évolution même de notre histoire et, en particulier, celle des rapports entre hommes et femmes.
Notre culture judéo-chrétienne et hellénique fait apparaître une " dénaturation " de cette déesse de la nature. Or, à l'origine, cette déesse des montagnes, des fauves et des bêtes sauvages incarne une formidable puissance primitive, libre et barbare, fondée sur la loi des cycles vie/mort/renaissance. Les récits cosmogoniques nous renvoient à eux, ainsi qu'à des histoires de jumeaux divins, d'androgynes, d'hermaphrodites et de serpents, toutes liées à la Déesse mère.
La Déesse est sauvage. La Déesse est éternelle. Elle seule connaît à la fois le passé, le présent et l'avenir. Elle nous crie qu'il faut faire confiance à notre instinct de vie, fuir l'abstraction qui nous coupe de la réalité et de l'amour, que nous devons jouir de la vie pour jouir d'une bonne mort.
Fidèle à son esprit et à son message, Joëlle de Gravelaine remonte ici le fil des mythes et des symboles transculturels pour nous les restituer intacts, dans un style alerte et vif qui donne à cette étude audacieuse une saveur de récit et des effluves de malice, tout en nous offrant des perspectives délibérément novatrices.
D'Isis à Déméter, en passant par Ishtar, Cybèle, Aphrodite, Hécate, Athéna, Lilith... et bien d'autres, il existe d'innombrables figures féminines toutes-puissantes : les Déesses mères, déesses de fertilité et de fécondité, qui ont marqué l'évolution même de notre histoire et, en particulier, celle des rapports entre hommes et femmes.
Notre culture judéo-chrétienne et hellénique fait apparaître une " dénaturation " de cette déesse de la nature. Or, à l'origine, cette déesse des montagnes, des fauves et des bêtes sauvages incarne une formidable puissance primitive, libre et barbare, fondée sur la loi des cycles vie/mort/renaissance. Les récits cosmogoniques nous renvoient à eux, ainsi qu'à des histoires de jumeaux divins, d'androgynes, d'hermaphrodites et de serpents, toutes liées à la Déesse mère.
La Déesse est sauvage. La Déesse est éternelle. Elle seule connaît à la fois le passé, le présent et l'avenir. Elle nous crie qu'il faut faire confiance à notre instinct de vie, fuir l'abstraction qui nous coupe de la réalité et de l'amour, que nous devons jouir de la vie pour jouir d'une bonne mort.
Fidèle à son esprit et à son message, Joëlle de Gravelaine remonte ici le fil des mythes et des symboles transculturels pour nous les restituer intacts, dans un style alerte et vif qui donne à cette étude audacieuse une saveur de récit et des effluves de malice, tout en nous offrant des perspectives délibérément novatrices.