Un livre drôle et attendrissant sur Gödel, l'illustre mathématicien, raconté par sa femme.
Il renferme même quelques pépites mathématiques, comme ce que sont les nombres amiables, expliqués ici dans un échange entre le mathématicien et sa femme :
"Il sortit de sa pochette glissée sous le lit deux pommes, rouges et bien lustrées. Au couteau, il avait gravé sur l’une « 220 », sur l’autre «284».
[…]
- Je mangerai « 220 », toi, « 284 ».
[…]
- C’est une coutume arabe. 220 et 284 sont des nombres amiables, des nombres magnifiques. Chacun est la somme des diviseurs de l’autre. Les diviseurs de 284 sont 1, 2, 4, 71 et 142. Leur somme est égale à 220. Les diviseurs de…
- Assez, c’est trop de romantisme, mon crapaud, je vais me pâmer !"
Un livre drôle et attendrissant sur Gödel, l'illustre mathématicien, raconté par sa femme.
Il renferme même quelques pépites mathématiques, comme ce que sont les nombres amiables, expliqués ici dans un échange entre le mathématicien et sa femme :
"Il sortit de sa pochette glissée sous le lit deux pommes, rouges et bien lustrées. Au couteau, il avait gravé sur l’une « 220 », sur l’autre «284».
[…]
- Je mangerai « 220 », toi, « 284 ».
[…]
- C’est une coutume arabe. 220 et 284 sont des nombres amiables, des nombres magnifiques. Chacun est la somme des diviseurs de l’autre. Les diviseurs de 284 sont 1, 2, 4, 71 et 142. Leur somme est égale à 220. Les diviseurs de…
- Assez, c’est trop de romantisme, mon crapaud, je vais me pâmer !"