La Deconvenue Des Prenoms (Dedicaces, Goudrons Et Poemes)

Par : Yves Berbier

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  • Nombre de pages93
  • PrésentationBroché
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions14,6 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-912860-32-6
  • EAN9782912860323
  • Date de parution04/12/2002
  • ÉditeurTheetete (editions)

Résumé

" La déconvenue des prénoms est un livre de poèmes, non de proses. Il tente de " mettre les paroles ensemble, d'accorder le son et le sens " comme l'écrit justement Claude Esteban (voir la préface à son Quevedo). C'est un chemin de travail dans le venin des jours qui passent mal. Ce sont des poèmes auxquels il a fallu du temps d'écriture : près de vingt ans pour certains ; quelques heures de nuit pour d'autres. Poèmes de poésie dans le jeu des mots, dans l'amour de la versification libre et de la mise en espace sur la feuille. Poèmes comme partitions aussi pour être dit à haute ou basse voix. Déconvenue des prénoms parce que naître pour n'être. Ainsi Giovanni Drogo dans son désert des Tartares... Parce que nos prénoms nous sont donnés dès l'expulsion au monde afin qu'ils nous distinguent ; mais par là-même aussi nous condamnant. L'inespoir donc. Le bel inespoir, sans nul sentimentalisme ni pleurnicherie. Bref, " la vraie vie est ailleurs " mais elle n'est pas pour nous... " Yves Barbier.
" La déconvenue des prénoms est un livre de poèmes, non de proses. Il tente de " mettre les paroles ensemble, d'accorder le son et le sens " comme l'écrit justement Claude Esteban (voir la préface à son Quevedo). C'est un chemin de travail dans le venin des jours qui passent mal. Ce sont des poèmes auxquels il a fallu du temps d'écriture : près de vingt ans pour certains ; quelques heures de nuit pour d'autres. Poèmes de poésie dans le jeu des mots, dans l'amour de la versification libre et de la mise en espace sur la feuille. Poèmes comme partitions aussi pour être dit à haute ou basse voix. Déconvenue des prénoms parce que naître pour n'être. Ainsi Giovanni Drogo dans son désert des Tartares... Parce que nos prénoms nous sont donnés dès l'expulsion au monde afin qu'ils nous distinguent ; mais par là-même aussi nous condamnant. L'inespoir donc. Le bel inespoir, sans nul sentimentalisme ni pleurnicherie. Bref, " la vraie vie est ailleurs " mais elle n'est pas pour nous... " Yves Barbier.