La décentralisation au Cameroun. Entre architecture institutionnelle et approche socio-anthropologique
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages386
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.583 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-336-49396-1
- EAN9782336493961
- Date de parution07/11/2024
- CollectionHarmattan Cameroun
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierLaurent-Charles Boyomo Assala
Résumé
C'est un truisme au Cameroun que les efforts institutionnels relatifs à la décentralisation tardent à répondre aux préoccupations des populations. En analysant les cadres juridique et réglementaire, on constate qu'il y a un grand vide entre les textes et les réalités de terrain de l'homme en situation. L'hypothèse majeure est que l'approche juridico-institutionnelle montre ses limites. C'est face à ce qui peut être considéré comme un échec que la socio-anthropologie rentre en jeu en vue d'établir les rapports entre les collectivités territoriales décentralisées et les structures du pouvoir central ; de décrire les compétences des pouvoirs locaux afin de comprendre leurs capacités d'action et de décision définies par le droit.
Cette approche permet d'analyser les compétences des autorités locales, leur autonomie vis-à-vis de l'Etat, leur contribution à l'action publique, tout en questionnant la pertinence des actions des populations concernées. L'étude sur la décentralisation et sur le local intéresse une multitude de spécialités. L'ouvrage convoque, entre autres, la sociologie des institutions, la sociologie des élites politiques, la sociologie de la participation politique ou de l'action publique, la géographie, l'anthropologie, la science politique, le droit, etc.
Cette approche permet d'analyser les compétences des autorités locales, leur autonomie vis-à-vis de l'Etat, leur contribution à l'action publique, tout en questionnant la pertinence des actions des populations concernées. L'étude sur la décentralisation et sur le local intéresse une multitude de spécialités. L'ouvrage convoque, entre autres, la sociologie des institutions, la sociologie des élites politiques, la sociologie de la participation politique ou de l'action publique, la géographie, l'anthropologie, la science politique, le droit, etc.
C'est un truisme au Cameroun que les efforts institutionnels relatifs à la décentralisation tardent à répondre aux préoccupations des populations. En analysant les cadres juridique et réglementaire, on constate qu'il y a un grand vide entre les textes et les réalités de terrain de l'homme en situation. L'hypothèse majeure est que l'approche juridico-institutionnelle montre ses limites. C'est face à ce qui peut être considéré comme un échec que la socio-anthropologie rentre en jeu en vue d'établir les rapports entre les collectivités territoriales décentralisées et les structures du pouvoir central ; de décrire les compétences des pouvoirs locaux afin de comprendre leurs capacités d'action et de décision définies par le droit.
Cette approche permet d'analyser les compétences des autorités locales, leur autonomie vis-à-vis de l'Etat, leur contribution à l'action publique, tout en questionnant la pertinence des actions des populations concernées. L'étude sur la décentralisation et sur le local intéresse une multitude de spécialités. L'ouvrage convoque, entre autres, la sociologie des institutions, la sociologie des élites politiques, la sociologie de la participation politique ou de l'action publique, la géographie, l'anthropologie, la science politique, le droit, etc.
Cette approche permet d'analyser les compétences des autorités locales, leur autonomie vis-à-vis de l'Etat, leur contribution à l'action publique, tout en questionnant la pertinence des actions des populations concernées. L'étude sur la décentralisation et sur le local intéresse une multitude de spécialités. L'ouvrage convoque, entre autres, la sociologie des institutions, la sociologie des élites politiques, la sociologie de la participation politique ou de l'action publique, la géographie, l'anthropologie, la science politique, le droit, etc.