La Croix Ansee Et Le Livre De L'Invisible Divin

Par : Daniel Castille

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  • Nombre de pages198
  • PrésentationBroché
  • Poids0.255 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-86734-048-9
  • EAN9782867340482
  • Date de parution01/11/2002
  • ÉditeurEdiru

Résumé

Le signe (moderne) que nous appelons Ankh, est un de ceux qui ont le plus attiré l'attention des orientalistes, des antiquaires et des assyriologues. La forme archaïque de ce symbole a été remarquée pour la première fois en 1616, par le voyageur Pietro de la Valle, alors qu'il traversait le désert de la Mésopotamie. Il la signala et, depuis cette époque, cette figure étrange ne cessa d'occuper plus ou moins l'attention des érudits.
La plupart des fragments qui arrivaient des ruines babyloniennes portait la répétition fréquente de ce signe, il figurait sur la plus grande partie des inscriptions gravées sur les cylindres en pierre dure ; sa position souvent initiale, quelquefois isolée, sa répétition fréquente faisaient supposer qu'il remplissait un rôle important dans les inscriptions ; on pressentait qu'il devait avoir une signification sacrée.
Nous ne devons jamais oublier cependant que, durant toute l'Antiquité, il exista un vrai état de gnose autour duquel s'articulaient des connaissances que nous avons à tout jamais perdues par les déprédations, les traductions incorrectes souvent reprises par des copistes de bonne foi, mais dont la connaissance du copte laissait à désirer. Et les pertes de parties plus ou moins importantes des textes viennent surtout du fait que les restaurateurs n'y voyaient rien de sacré.
Enfin, il ne faut pas sous-estimer la part du Mystère qui se cache sous la poussière des papyrus, ces grands Mystères d'antan qui sont de nos jours en passe d'être classés dans une désuète mythologie.
Le signe (moderne) que nous appelons Ankh, est un de ceux qui ont le plus attiré l'attention des orientalistes, des antiquaires et des assyriologues. La forme archaïque de ce symbole a été remarquée pour la première fois en 1616, par le voyageur Pietro de la Valle, alors qu'il traversait le désert de la Mésopotamie. Il la signala et, depuis cette époque, cette figure étrange ne cessa d'occuper plus ou moins l'attention des érudits.
La plupart des fragments qui arrivaient des ruines babyloniennes portait la répétition fréquente de ce signe, il figurait sur la plus grande partie des inscriptions gravées sur les cylindres en pierre dure ; sa position souvent initiale, quelquefois isolée, sa répétition fréquente faisaient supposer qu'il remplissait un rôle important dans les inscriptions ; on pressentait qu'il devait avoir une signification sacrée.
Nous ne devons jamais oublier cependant que, durant toute l'Antiquité, il exista un vrai état de gnose autour duquel s'articulaient des connaissances que nous avons à tout jamais perdues par les déprédations, les traductions incorrectes souvent reprises par des copistes de bonne foi, mais dont la connaissance du copte laissait à désirer. Et les pertes de parties plus ou moins importantes des textes viennent surtout du fait que les restaurateurs n'y voyaient rien de sacré.
Enfin, il ne faut pas sous-estimer la part du Mystère qui se cache sous la poussière des papyrus, ces grands Mystères d'antan qui sont de nos jours en passe d'être classés dans une désuète mythologie.