La comédie screwball hollywoodienne 1934-1945. Sexe, amour et idéaux démocratiques
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages423
- PrésentationBroché
- Poids0.725 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-84832-179-0
- EAN9782848321790
- Date de parution08/11/2013
- CollectionLettres et civilisations étran
- ÉditeurArtois Presses Université
Résumé
Cette étude de genre, qui constitue une première en France, aborde sous tous ses aspects l'une des expressions les plus attachantes de la comédie classique hollywoodienne. Ces films, dirigés par des spécialistes du comique (Howard Hawks, Gregory LaCava, Mitchell Leisen, Wesley Ruggles...), incarnés par les stars marquantes de cette décennie (Claudette Colbert, Irene Dunne, Clark Gable, Cary Grant, Katharine Hepburn...), forment ce qu'il est convenu d'appeler la comédie screwball, " sous-genre " prolifique de l'entre-deux-guerres, qui continue d'inspirer aujourd'hui la " comédie romantique " au cinéma.
Son immense succès public est expliqué par une triple approche : historique, stylistique et esthétique, sociologique. Au croisement des études cinématographiques et de la civilisation américaine, est établie une carte d'identité du genre (structures d'intrigues, évolution thématique). L'analyse se complète par l'examen de la construction d'un discours comique nouveau fait d'allusions et de métaphores pour représenter le désir et le sexe en période de censure.
Enfin, un élargissement de l'approche du genre à sa fonction politique dévoile les caractéristiques de la " fête screwball ", qui célèbre la libéralisation des mœurs (sphère privée contre sphère publique) et fait du discours conjugal modernisé une condition essentielle du débat démocratique : libre consentement et engagement contractuel.
Son immense succès public est expliqué par une triple approche : historique, stylistique et esthétique, sociologique. Au croisement des études cinématographiques et de la civilisation américaine, est établie une carte d'identité du genre (structures d'intrigues, évolution thématique). L'analyse se complète par l'examen de la construction d'un discours comique nouveau fait d'allusions et de métaphores pour représenter le désir et le sexe en période de censure.
Enfin, un élargissement de l'approche du genre à sa fonction politique dévoile les caractéristiques de la " fête screwball ", qui célèbre la libéralisation des mœurs (sphère privée contre sphère publique) et fait du discours conjugal modernisé une condition essentielle du débat démocratique : libre consentement et engagement contractuel.
Cette étude de genre, qui constitue une première en France, aborde sous tous ses aspects l'une des expressions les plus attachantes de la comédie classique hollywoodienne. Ces films, dirigés par des spécialistes du comique (Howard Hawks, Gregory LaCava, Mitchell Leisen, Wesley Ruggles...), incarnés par les stars marquantes de cette décennie (Claudette Colbert, Irene Dunne, Clark Gable, Cary Grant, Katharine Hepburn...), forment ce qu'il est convenu d'appeler la comédie screwball, " sous-genre " prolifique de l'entre-deux-guerres, qui continue d'inspirer aujourd'hui la " comédie romantique " au cinéma.
Son immense succès public est expliqué par une triple approche : historique, stylistique et esthétique, sociologique. Au croisement des études cinématographiques et de la civilisation américaine, est établie une carte d'identité du genre (structures d'intrigues, évolution thématique). L'analyse se complète par l'examen de la construction d'un discours comique nouveau fait d'allusions et de métaphores pour représenter le désir et le sexe en période de censure.
Enfin, un élargissement de l'approche du genre à sa fonction politique dévoile les caractéristiques de la " fête screwball ", qui célèbre la libéralisation des mœurs (sphère privée contre sphère publique) et fait du discours conjugal modernisé une condition essentielle du débat démocratique : libre consentement et engagement contractuel.
Son immense succès public est expliqué par une triple approche : historique, stylistique et esthétique, sociologique. Au croisement des études cinématographiques et de la civilisation américaine, est établie une carte d'identité du genre (structures d'intrigues, évolution thématique). L'analyse se complète par l'examen de la construction d'un discours comique nouveau fait d'allusions et de métaphores pour représenter le désir et le sexe en période de censure.
Enfin, un élargissement de l'approche du genre à sa fonction politique dévoile les caractéristiques de la " fête screwball ", qui célèbre la libéralisation des mœurs (sphère privée contre sphère publique) et fait du discours conjugal modernisé une condition essentielle du débat démocratique : libre consentement et engagement contractuel.