La classe populaire peut-elle gouverner ?. Partis, mouvements, soulèvements

Par : Jacques Bidet
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  • Nombre de pages174
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.192 kg
  • Dimensions11,5 cm × 19,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN979-10-399-0155-0
  • EAN9791039901550
  • Date de parution12/10/2023
  • CollectionArguments et mouvements
  • ÉditeurSyllepse (Editions)

Résumé

Gouverner, ce n'est pas tout diriger, c'est se montrer capable de faire converger des forces sociales distinctes vers des objectifs communs. L'histoire des partis anticapitalistes montre que la classe populaire ne peut s'organiser politiquement qu'en association avec une certaine "élite compétente", qui a ses raisons propres de résister à l'emprise du capital, mais... n'envisage une telle alliance que pour en prendre la direction.
Après l'échec des partis, l'organisation en forme de mouvement semble reconduire le même processus. Face au déferlement mondial du néolibéralisme, l'idée d'une politique conduite sous l'hégémonie de la classe populaire ne serait-elle qu'une utopie ? A mesure que l'on avance sur le chemin du désastre écologique, commence certes à s'affirmer une "Nation-monde" solidaire, qui se dresse contre un "Etat-monde" de classe et un "Système-monde" inégal destructeur de la vie sur la planète.
Mais ce n'est qu'en engageant une solidarité plus large, un "soulèvement de la Terre", qu'elle pourra devenir capable d'écarter la catastrophe.
Gouverner, ce n'est pas tout diriger, c'est se montrer capable de faire converger des forces sociales distinctes vers des objectifs communs. L'histoire des partis anticapitalistes montre que la classe populaire ne peut s'organiser politiquement qu'en association avec une certaine "élite compétente", qui a ses raisons propres de résister à l'emprise du capital, mais... n'envisage une telle alliance que pour en prendre la direction.
Après l'échec des partis, l'organisation en forme de mouvement semble reconduire le même processus. Face au déferlement mondial du néolibéralisme, l'idée d'une politique conduite sous l'hégémonie de la classe populaire ne serait-elle qu'une utopie ? A mesure que l'on avance sur le chemin du désastre écologique, commence certes à s'affirmer une "Nation-monde" solidaire, qui se dresse contre un "Etat-monde" de classe et un "Système-monde" inégal destructeur de la vie sur la planète.
Mais ce n'est qu'en engageant une solidarité plus large, un "soulèvement de la Terre", qu'elle pourra devenir capable d'écarter la catastrophe.
Sur la reproduction
Louis Althusser
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