La classe des garçons

Par : Francis Lacombrade
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  • Nombre de pages228
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.315 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-07-020440-5
  • EAN9782070204403
  • Date de parution08/04/1980
  • CollectionBlanche
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Le roman décrit l'épreuve d'une vocation brisée. Vocation d'un jeune danseur effritée contre l'opiniâtreté d'un maître fanatique qui, refusant de reconnaître en l'élève l'un des siens, se vous à sa perte. Peut-être à sa sauvegarde ? La classe des garçons entremêle deux tons, comme deux regards, celui de l'adolescent qui raconte, sans recul, celui de l'homme qui se souvient. Fort de son expérience de la danse, l'auteur fait revivre de façon saisissante ce monde clos, son anachronisme immuable, son répertoire de sauvageries, la singularité de ses personnages.
Il sera difficile d'oublier la figure du Maître à Danser, "gros insecte têtu qui enseigne l'envol", sa violence truculente, sa foi dans son métier, son appétit goguenard pour les garçons qui s'y consacrent. Ce roman est sans doute le premier qui dépeigne "de l'intérieur" la passion de la danse. Son style charnu ou coupant, lyrique ou feutré, implacable ou allusif, est toujours sous-tendu par l'émotion, la vibration d'un souvenir meurtri qui ne veut pas s'éteindre.
Le roman décrit l'épreuve d'une vocation brisée. Vocation d'un jeune danseur effritée contre l'opiniâtreté d'un maître fanatique qui, refusant de reconnaître en l'élève l'un des siens, se vous à sa perte. Peut-être à sa sauvegarde ? La classe des garçons entremêle deux tons, comme deux regards, celui de l'adolescent qui raconte, sans recul, celui de l'homme qui se souvient. Fort de son expérience de la danse, l'auteur fait revivre de façon saisissante ce monde clos, son anachronisme immuable, son répertoire de sauvageries, la singularité de ses personnages.
Il sera difficile d'oublier la figure du Maître à Danser, "gros insecte têtu qui enseigne l'envol", sa violence truculente, sa foi dans son métier, son appétit goguenard pour les garçons qui s'y consacrent. Ce roman est sans doute le premier qui dépeigne "de l'intérieur" la passion de la danse. Son style charnu ou coupant, lyrique ou feutré, implacable ou allusif, est toujours sous-tendu par l'émotion, la vibration d'un souvenir meurtri qui ne veut pas s'éteindre.