La Cause Freudienne N°41 Fevrier 1999 : Le Sacrifice De La Castration

Par : Collectif

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  • Nombre de pages143
  • PrésentationBroché
  • Poids0.405 kg
  • Dimensions21,1 cm × 27,1 cm × 0,9 cm
  • ISBN2-905040-28-9
  • EAN9782905040282
  • Date de parution24/02/1999
  • ÉditeurEcole de la Cause Freudienne

Résumé

La castration. Encore. Le mot n'est pas drôle, ni beau non plus. La chose l'est encore moins. Mais que dire de son sacrifice ? Lacan est le seul à en avoir eu l'idée, à contre-courant du sens commun et de Freud. Voici en quels termes : " Ce que le névrosé ne veut pas et ce qu'il refuse avec acharnement jusqu'à la fin de l'analyse, c'est de sacrifier sa castration à la Jouissance de l'Autre, en l'y laissant servir ". La castration, ce manque qui relève du symbolique, concerne un objet imaginaire et dont l'agent est le père réel, serait-elle donc l'objet d'un sacrifice ? Le terme semble paradoxal : sacrifier un manque pour la jouissance de l'Autre, " en l'y laissant servir ". A quoi bon cet acharnement que Lacan impute au névrosé ? Quid du psychotique ? Ce manque qu'il rejette (forclôt), n'a-t-il pas à en faire aussi le sacrifice ? En va-t-il de même pour les femmes, lesquelles, croit-on savoir, n'ont rien à perdre de ce côté-là ? Autant de questions que ce texte de Lacan de 1960 laisse en suspens. Paulo Siqueira
La castration. Encore. Le mot n'est pas drôle, ni beau non plus. La chose l'est encore moins. Mais que dire de son sacrifice ? Lacan est le seul à en avoir eu l'idée, à contre-courant du sens commun et de Freud. Voici en quels termes : " Ce que le névrosé ne veut pas et ce qu'il refuse avec acharnement jusqu'à la fin de l'analyse, c'est de sacrifier sa castration à la Jouissance de l'Autre, en l'y laissant servir ". La castration, ce manque qui relève du symbolique, concerne un objet imaginaire et dont l'agent est le père réel, serait-elle donc l'objet d'un sacrifice ? Le terme semble paradoxal : sacrifier un manque pour la jouissance de l'Autre, " en l'y laissant servir ". A quoi bon cet acharnement que Lacan impute au névrosé ? Quid du psychotique ? Ce manque qu'il rejette (forclôt), n'a-t-il pas à en faire aussi le sacrifice ? En va-t-il de même pour les femmes, lesquelles, croit-on savoir, n'ont rien à perdre de ce côté-là ? Autant de questions que ce texte de Lacan de 1960 laisse en suspens. Paulo Siqueira
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