Historien. Producteur-présentateur d'émissions de télévision. Ministre de la Francophonie (1988-1991). Membre de l'Institut, Académie française (élu en 1979).
La Castiglione. Dame de coeur de l'Europe
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- PrésentationBroché
- Poids0.56 kg
- Dimensions1,4 cm × 2,3 cm × 0,3 cm
- ISBN2-262-01883-9
- EAN9782262018832
- Date de parution01/09/1999
- ÉditeurPerrin
Résumé
La biographie d'une ambassadrice de charme, maîtresse de Napoléon III, au service de l'unité italienne. De Virginia de Castiglione, la princesse de Metternich écrivit : " Jamais je n'ai vu une beauté pareille, jamais je n'en reverrai plus comme celle-là ". A dix-huit ans, appartenant à une grande famille florentine, épouse d'un jeune comte attaché à la maison du roi de Piémont Victor-Emmanuel, elle devient l'enjeu, presque du jour au lendemain, d'une étrange politique.
Au congrès qui va rassembler à Paris les vainqueurs et vaincus de la guerre de Crimée, Victor-Emmanuel et son ministre Cavour veulent poser la " question italienne ". Occupée en majorité par l'Autriche, divisée en multiples duchés et principautés, l'Italie rêve de retrouver son unité. Un seul pays peut l'y aider : la France de Napoléon III. La mission dévolue à Virginia est de séduire l'Empereur des Français et de l'amener peu à peu à soutenir la cause de l'Italie.
Grâce aux archives inédites de la comtesse de Castiglione, Alain Decaux s'est trouvé à même de relater dans tous ses détails cette étrange ambassade. La rupture avec l'empereur la laissa désespérée et pourtant elle avait réussi : l'armée française, par les victoires de Solferino et Magenta, marqua les premiers jalons de l'unité italienne parachevée en 1870. Ce furent alors des intrigues où alternèrent la politique et l'amour, une existence si aventureuse et si brillante qu'elle conserve aujourd'hui encore tous ses sortilèges.
" Ces cris d'amour, de passion brûlante qui avaient volé vers elle, écrit Alain Decaux, de quel droit les lisais-je ? De quel droit, surtout, les livrerais-je au public ? ". Alain Decaux s'y est décidé : voici la Castiglione dans toute sa vérité.
Au congrès qui va rassembler à Paris les vainqueurs et vaincus de la guerre de Crimée, Victor-Emmanuel et son ministre Cavour veulent poser la " question italienne ". Occupée en majorité par l'Autriche, divisée en multiples duchés et principautés, l'Italie rêve de retrouver son unité. Un seul pays peut l'y aider : la France de Napoléon III. La mission dévolue à Virginia est de séduire l'Empereur des Français et de l'amener peu à peu à soutenir la cause de l'Italie.
Grâce aux archives inédites de la comtesse de Castiglione, Alain Decaux s'est trouvé à même de relater dans tous ses détails cette étrange ambassade. La rupture avec l'empereur la laissa désespérée et pourtant elle avait réussi : l'armée française, par les victoires de Solferino et Magenta, marqua les premiers jalons de l'unité italienne parachevée en 1870. Ce furent alors des intrigues où alternèrent la politique et l'amour, une existence si aventureuse et si brillante qu'elle conserve aujourd'hui encore tous ses sortilèges.
" Ces cris d'amour, de passion brûlante qui avaient volé vers elle, écrit Alain Decaux, de quel droit les lisais-je ? De quel droit, surtout, les livrerais-je au public ? ". Alain Decaux s'y est décidé : voici la Castiglione dans toute sa vérité.
La biographie d'une ambassadrice de charme, maîtresse de Napoléon III, au service de l'unité italienne. De Virginia de Castiglione, la princesse de Metternich écrivit : " Jamais je n'ai vu une beauté pareille, jamais je n'en reverrai plus comme celle-là ". A dix-huit ans, appartenant à une grande famille florentine, épouse d'un jeune comte attaché à la maison du roi de Piémont Victor-Emmanuel, elle devient l'enjeu, presque du jour au lendemain, d'une étrange politique.
Au congrès qui va rassembler à Paris les vainqueurs et vaincus de la guerre de Crimée, Victor-Emmanuel et son ministre Cavour veulent poser la " question italienne ". Occupée en majorité par l'Autriche, divisée en multiples duchés et principautés, l'Italie rêve de retrouver son unité. Un seul pays peut l'y aider : la France de Napoléon III. La mission dévolue à Virginia est de séduire l'Empereur des Français et de l'amener peu à peu à soutenir la cause de l'Italie.
Grâce aux archives inédites de la comtesse de Castiglione, Alain Decaux s'est trouvé à même de relater dans tous ses détails cette étrange ambassade. La rupture avec l'empereur la laissa désespérée et pourtant elle avait réussi : l'armée française, par les victoires de Solferino et Magenta, marqua les premiers jalons de l'unité italienne parachevée en 1870. Ce furent alors des intrigues où alternèrent la politique et l'amour, une existence si aventureuse et si brillante qu'elle conserve aujourd'hui encore tous ses sortilèges.
" Ces cris d'amour, de passion brûlante qui avaient volé vers elle, écrit Alain Decaux, de quel droit les lisais-je ? De quel droit, surtout, les livrerais-je au public ? ". Alain Decaux s'y est décidé : voici la Castiglione dans toute sa vérité.
Au congrès qui va rassembler à Paris les vainqueurs et vaincus de la guerre de Crimée, Victor-Emmanuel et son ministre Cavour veulent poser la " question italienne ". Occupée en majorité par l'Autriche, divisée en multiples duchés et principautés, l'Italie rêve de retrouver son unité. Un seul pays peut l'y aider : la France de Napoléon III. La mission dévolue à Virginia est de séduire l'Empereur des Français et de l'amener peu à peu à soutenir la cause de l'Italie.
Grâce aux archives inédites de la comtesse de Castiglione, Alain Decaux s'est trouvé à même de relater dans tous ses détails cette étrange ambassade. La rupture avec l'empereur la laissa désespérée et pourtant elle avait réussi : l'armée française, par les victoires de Solferino et Magenta, marqua les premiers jalons de l'unité italienne parachevée en 1870. Ce furent alors des intrigues où alternèrent la politique et l'amour, une existence si aventureuse et si brillante qu'elle conserve aujourd'hui encore tous ses sortilèges.
" Ces cris d'amour, de passion brûlante qui avaient volé vers elle, écrit Alain Decaux, de quel droit les lisais-je ? De quel droit, surtout, les livrerais-je au public ? ". Alain Decaux s'y est décidé : voici la Castiglione dans toute sa vérité.