La Bible et la guerre, la non-violence

Par : Jean-Marie Marconot, Bernard Tabuce
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  • Nombre de pages298
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.55 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-84269-913-0
  • EAN9782842699130
  • Date de parution17/03/2011
  • CollectionHistoire et sociétés
  • ÉditeurPULM

Résumé

Croisade ou inquisition, pogrom ou dévastation, la guerre est la contradiction permanente d'un message biblique, qui ne connaissait que le bonheur rural à son début, et l'apothéose à sa fin, de la Genèse à l'Apocalypse. Mais la Bible a de nombreux textes, chacun écrit dans sa perspective historique. Les personnages eux-mêmes sont composites. David, berger pacifique, a été aussi un guérillero malin.
La guerre appartient aussi à une certaine nature des choses, et du moins elle est inhérente aux formes politiques. Chaque nation veut ses frontières et ses armées, et dans tous les programmes, la guerre est une répétition, presque rangée parmi les catastrophes naturelles. Le mystique ignore la guerre, mais il est rare. La relecture des textes bibliques ou analogues, dans ce colloque, est aussi une relecture des histoires et des mentalités.
Sur le portail de Saint-Gilles, le sculpteur a donné à Michel, l'ange guerrier, un visage de paix souriante : la non-violence domine la force brute et Michel ne se bat pas contre des humains mais contre les démons.
Croisade ou inquisition, pogrom ou dévastation, la guerre est la contradiction permanente d'un message biblique, qui ne connaissait que le bonheur rural à son début, et l'apothéose à sa fin, de la Genèse à l'Apocalypse. Mais la Bible a de nombreux textes, chacun écrit dans sa perspective historique. Les personnages eux-mêmes sont composites. David, berger pacifique, a été aussi un guérillero malin.
La guerre appartient aussi à une certaine nature des choses, et du moins elle est inhérente aux formes politiques. Chaque nation veut ses frontières et ses armées, et dans tous les programmes, la guerre est une répétition, presque rangée parmi les catastrophes naturelles. Le mystique ignore la guerre, mais il est rare. La relecture des textes bibliques ou analogues, dans ce colloque, est aussi une relecture des histoires et des mentalités.
Sur le portail de Saint-Gilles, le sculpteur a donné à Michel, l'ange guerrier, un visage de paix souriante : la non-violence domine la force brute et Michel ne se bat pas contre des humains mais contre les démons.