La Bête est morte ! La guerre mondiale chez les animaux. 1re partie, Quand la bête est déchaînée ; 2e partie, Quand la bête est terrassée

Par : Léo Calvo

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  • Nombre de pages78
  • PrésentationRelié
  • FormatAlbum
  • Poids0.89 kg
  • Dimensions26,7 cm × 35,1 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-07-059073-9
  • EAN9782070590735
  • Date de parution29/10/2002
  • ÉditeurGallimard jeunesse

Résumé

La Seconde Guerre mondiale n'est pas achevée lorsque Victor Dancette et Calvo unissent leurs talents pour cracher leur venin sur ses atrocités. C'est la naissance de l'album "La Bête est morte ! ". Dessiné et peint en pleine occupation allemande, il est publié dans le troisième mois de la Libération. Cette oeuvre unique, ce bestiaire sanglant, qui s'inscrit dans la longue tradition du symbolisme animal, est à l'image de cet épisode le plus monstrueux de l'histoire de l'humanité : féroce et impitoyable.
La satire est anthropomorphe. C'est la guerre mondiale chez les animaux. Chaque animal a un pouvoir symbolique et évocateur véhiculant certaines valeurs. Des loups affreux et féroces (les Allemands) massacrent, de toute la force de leur artillerie, de braves lapins et courageux écureuils (les Français), sans hésiter à envahir le territoire de fiers lionceaux (les Belges). Mais la résistance s'organise chez les résolus et flegmatiques bouledogues (les Anglais).
Malgré les attaques menées par les hyènes enragées (les Italiens) et les perfides singes (les Japonais), ils gagnent du terrain grâce aux interventions salvatrices et musclées des puissants bisons (les Américains), tandis que les ours (les Russes) défendent chèrement leur peau... Et s'il est vrai que Victor Dancette, auteur du scénario, ignore les nuances, on trouve dans cet ouvrage le témoignage émouvant d'une indignation nationale et, surtout, une éclatante démonstration d'art dans la bande dessinée.
1re partie : Quand la bête est déchaînée. 2e partie : Quand la bête est terrassée.
La Seconde Guerre mondiale n'est pas achevée lorsque Victor Dancette et Calvo unissent leurs talents pour cracher leur venin sur ses atrocités. C'est la naissance de l'album "La Bête est morte ! ". Dessiné et peint en pleine occupation allemande, il est publié dans le troisième mois de la Libération. Cette oeuvre unique, ce bestiaire sanglant, qui s'inscrit dans la longue tradition du symbolisme animal, est à l'image de cet épisode le plus monstrueux de l'histoire de l'humanité : féroce et impitoyable.
La satire est anthropomorphe. C'est la guerre mondiale chez les animaux. Chaque animal a un pouvoir symbolique et évocateur véhiculant certaines valeurs. Des loups affreux et féroces (les Allemands) massacrent, de toute la force de leur artillerie, de braves lapins et courageux écureuils (les Français), sans hésiter à envahir le territoire de fiers lionceaux (les Belges). Mais la résistance s'organise chez les résolus et flegmatiques bouledogues (les Anglais).
Malgré les attaques menées par les hyènes enragées (les Italiens) et les perfides singes (les Japonais), ils gagnent du terrain grâce aux interventions salvatrices et musclées des puissants bisons (les Américains), tandis que les ours (les Russes) défendent chèrement leur peau... Et s'il est vrai que Victor Dancette, auteur du scénario, ignore les nuances, on trouve dans cet ouvrage le témoignage émouvant d'une indignation nationale et, surtout, une éclatante démonstration d'art dans la bande dessinée.
1re partie : Quand la bête est déchaînée. 2e partie : Quand la bête est terrassée.