Agrégé d'histoire et docteur ès lettres, Jean Tulard est professeur à l'université de Paris-Sorbonne et membre de l'Institut. Il est le maître incontesté des études napoléoniennes françaises.
La berline de Napoléon. Le mystère du butin de Waterloo
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- Nombre de pages311
- PrésentationRelié
- Poids1.802 kg
- Dimensions21,0 cm × 28,0 cm × 3,5 cm
- ISBN978-2-226-20813-2
- EAN9782226208132
- Date de parution29/02/2012
- ÉditeurAlbin Michel
- PréfacierJean-Louis Georgelin
- PréfacierAlexandre Avdeïev
- PréfacierAlexis Levykine
Résumé
Napoléon, l'homme pressé, faisait aménager des berlines spéciales pour l'accompagner sur les champs de bataille. Dont un modèle révolutionnaire, commandé pour la campagne de Russie au carrossier Getting, qui permettait d'ouvrir la partie supérieure pour observer les alentours lors des opérations militaires ou converser avec les officiers qui l'accompagnaient à cheval. Il y gardait ses effets personnels, tous entrés dans la légende - un chapeau, une redingote, une épée, son nécessaire de toilette et sa cantine, ses armes bien sûr et, le plus précieux...
ses décorations. Des trésors d'orfèvrerie dont il ne se séparait jamais, évocateurs de son parcours fulgurant et de sa stratégie politique mais aussi symboles de sa toute puissance. La prise de guerre idéale, convoitée par toutes les armées ennemies sans qu'elles n'y parviennent jamais, jusqu'à Waterloo où elle est pillée par les Prussiens. Le maréchal Blücher s'empressera de remettre les décorations au roi de Prusse, qui les fit exposer comme trophée à Berlin.
Les décorations disparurent en 1918 jusqu'à l'orée de la Seconde Guerre mondiale, où elles furent à nouveau dérobées à Berlin par les Russes. Le musée historique de Moscou a accepté de les prêter au musée de la Légion d'honneur pour une exposition unique sous haute surveillance ! Cet ouvrage, qui accompagne et complète l'exposition, raconte l'aventure rocambolesque de ce trésor et permet d'évoquer de manière vivante et inédite le mode de vie et la stratégie politique de l'Empereur.
ses décorations. Des trésors d'orfèvrerie dont il ne se séparait jamais, évocateurs de son parcours fulgurant et de sa stratégie politique mais aussi symboles de sa toute puissance. La prise de guerre idéale, convoitée par toutes les armées ennemies sans qu'elles n'y parviennent jamais, jusqu'à Waterloo où elle est pillée par les Prussiens. Le maréchal Blücher s'empressera de remettre les décorations au roi de Prusse, qui les fit exposer comme trophée à Berlin.
Les décorations disparurent en 1918 jusqu'à l'orée de la Seconde Guerre mondiale, où elles furent à nouveau dérobées à Berlin par les Russes. Le musée historique de Moscou a accepté de les prêter au musée de la Légion d'honneur pour une exposition unique sous haute surveillance ! Cet ouvrage, qui accompagne et complète l'exposition, raconte l'aventure rocambolesque de ce trésor et permet d'évoquer de manière vivante et inédite le mode de vie et la stratégie politique de l'Empereur.
Napoléon, l'homme pressé, faisait aménager des berlines spéciales pour l'accompagner sur les champs de bataille. Dont un modèle révolutionnaire, commandé pour la campagne de Russie au carrossier Getting, qui permettait d'ouvrir la partie supérieure pour observer les alentours lors des opérations militaires ou converser avec les officiers qui l'accompagnaient à cheval. Il y gardait ses effets personnels, tous entrés dans la légende - un chapeau, une redingote, une épée, son nécessaire de toilette et sa cantine, ses armes bien sûr et, le plus précieux...
ses décorations. Des trésors d'orfèvrerie dont il ne se séparait jamais, évocateurs de son parcours fulgurant et de sa stratégie politique mais aussi symboles de sa toute puissance. La prise de guerre idéale, convoitée par toutes les armées ennemies sans qu'elles n'y parviennent jamais, jusqu'à Waterloo où elle est pillée par les Prussiens. Le maréchal Blücher s'empressera de remettre les décorations au roi de Prusse, qui les fit exposer comme trophée à Berlin.
Les décorations disparurent en 1918 jusqu'à l'orée de la Seconde Guerre mondiale, où elles furent à nouveau dérobées à Berlin par les Russes. Le musée historique de Moscou a accepté de les prêter au musée de la Légion d'honneur pour une exposition unique sous haute surveillance ! Cet ouvrage, qui accompagne et complète l'exposition, raconte l'aventure rocambolesque de ce trésor et permet d'évoquer de manière vivante et inédite le mode de vie et la stratégie politique de l'Empereur.
ses décorations. Des trésors d'orfèvrerie dont il ne se séparait jamais, évocateurs de son parcours fulgurant et de sa stratégie politique mais aussi symboles de sa toute puissance. La prise de guerre idéale, convoitée par toutes les armées ennemies sans qu'elles n'y parviennent jamais, jusqu'à Waterloo où elle est pillée par les Prussiens. Le maréchal Blücher s'empressera de remettre les décorations au roi de Prusse, qui les fit exposer comme trophée à Berlin.
Les décorations disparurent en 1918 jusqu'à l'orée de la Seconde Guerre mondiale, où elles furent à nouveau dérobées à Berlin par les Russes. Le musée historique de Moscou a accepté de les prêter au musée de la Légion d'honneur pour une exposition unique sous haute surveillance ! Cet ouvrage, qui accompagne et complète l'exposition, raconte l'aventure rocambolesque de ce trésor et permet d'évoquer de manière vivante et inédite le mode de vie et la stratégie politique de l'Empereur.