La bataille du film. 1933-1945, le cinéma français entre allégeance et résistance

Par : Alain Weber
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  • Nombre de pages294
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.366 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-84114-894-3
  • EAN9782841148943
  • Date de parution15/09/2007
  • CollectionRamsay cinéma
  • ÉditeurRamsay

Résumé

Juin 1940. Ecrasée militairement, la France capitule devant Hitler. Pendant quatre ans, le vainqueur impose sa loi. Chaque rouage de l'économie se met au service de la machine de guerre allemande. L'industrie cinématographique n'y échappe pas. Arme de propagande par excellence, le cinéma est placé sous la coupe d'Otto Abetz, de la Propagandastaffel et de la Continental. L'ensemble de l'industrie cinématographique est contraint de collaborer à la propagation des idéaux nazis.
Mainmise idéologique et financière, persécutions antisémites... Malgré cette domination, des voix discordantes se font entendre. De nombreux techniciens, réalisateurs, ou acteurs, parce qu'ils refusent la collaboration, rejoignent la Résistance. Tiraillé par des intérêts contradictoires, le cinéma français oscille entre compromission et volonté de renaissance. Une lutte fratricide s'engage, où chacun choisit son camp.
Le septième art se transforme en champ de bataille. Alain Weber livre un document unique et passionnant, riche en portraits et en anecdotes, sur les premiers et seconds rôles de cet affrontement. Hommes d'affaires compromis, agents de Vichy, censeurs allemands croisent des noms devenus mythiques comme Arletty, Marcel Carné, Pierre Fresnay, Henri-Georges Clouzot, Jean Gabin, Jacques Prévert, sans oublier Henri Langlois qui dissimulait les trésors du cinéma français aux convoitises nazies.
De l'arrivée de Hitler au pouvoir, en 1933, à La Bataille du rail, en 1945, et grâce à de nombreuses archives, Alain Weber décrypte les enjeux et les conséquences de cette période sombre du cinéma français.
Juin 1940. Ecrasée militairement, la France capitule devant Hitler. Pendant quatre ans, le vainqueur impose sa loi. Chaque rouage de l'économie se met au service de la machine de guerre allemande. L'industrie cinématographique n'y échappe pas. Arme de propagande par excellence, le cinéma est placé sous la coupe d'Otto Abetz, de la Propagandastaffel et de la Continental. L'ensemble de l'industrie cinématographique est contraint de collaborer à la propagation des idéaux nazis.
Mainmise idéologique et financière, persécutions antisémites... Malgré cette domination, des voix discordantes se font entendre. De nombreux techniciens, réalisateurs, ou acteurs, parce qu'ils refusent la collaboration, rejoignent la Résistance. Tiraillé par des intérêts contradictoires, le cinéma français oscille entre compromission et volonté de renaissance. Une lutte fratricide s'engage, où chacun choisit son camp.
Le septième art se transforme en champ de bataille. Alain Weber livre un document unique et passionnant, riche en portraits et en anecdotes, sur les premiers et seconds rôles de cet affrontement. Hommes d'affaires compromis, agents de Vichy, censeurs allemands croisent des noms devenus mythiques comme Arletty, Marcel Carné, Pierre Fresnay, Henri-Georges Clouzot, Jean Gabin, Jacques Prévert, sans oublier Henri Langlois qui dissimulait les trésors du cinéma français aux convoitises nazies.
De l'arrivée de Hitler au pouvoir, en 1933, à La Bataille du rail, en 1945, et grâce à de nombreuses archives, Alain Weber décrypte les enjeux et les conséquences de cette période sombre du cinéma français.