La bataille d'Azincourt.. 25 octobre 1415

Par : Dominique Paladilhe

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  • Nombre de pages193
  • PrésentationBroché
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions13,3 cm × 20,1 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-262-01493-0
  • EAN9782262014933
  • Date de parution17/01/2002
  • CollectionPour l'histoire
  • ÉditeurPerrin

Résumé

La bataille d'Azincourt (1415) est la plus célèbre et la plus dramatique pour la France des batailles de la guerre de Cent Ans. Elle marque le point suprême où était parvenu le conflit opposant la France et l'Angleterre. Un temps apaise grâce a Charles V et du Guesclin, il fut ranimé par Henri V d'Angleterre qui, profitant de la folie de Charles VI, de la discorde des princes du sang, de la guerre intestine provoquée par l'opposition des Armagnacs et des Bourguignons, résolut de conquérir le royaume. Il commença par la Normandie, avec le siège d'Harfleur, qui dura plus d'un mois et coûta si cher à l'Anglais qu'il dut renoncer à son entreprise pour rentrer au plus vite à Calais. L'armée française parvint à lui couper la retraite près d'Azincourt, dans l'Artois. Malgré l'opposition du duc de Bourgogne, les Armagnacs et les Bourguignons s'unirent pour en finir avec le roi d'Angleterre. Leur nombre semblait leur assurer la victoire. Mais cet excès de confiance les aveugla. En face d'eux, les Anglais animés par un chef énergique ne laissèrent rien au hasard. Le combat se déroula à pied, dans la boue. Les cavaliers qui faisaient la fierté de l'armée française furent cause du désastre. En voulant être chevaleresque, la chevalerie fut anéantie. Il y eut près de 5 000 morts du côté français. Ce désastre eut pour conséquence le honteux traité de Troyes qui faisait du roi d'Angleterre l'héritier du royaume de France. Dominique Paladilhe - raconte cette bataille qui ne dura qu'un jour. Mais cette journée, comme celles de Poitiers, de Marignan, de Valmy ou de Waterloo, est gravée dans notre mémoire.
La bataille d'Azincourt (1415) est la plus célèbre et la plus dramatique pour la France des batailles de la guerre de Cent Ans. Elle marque le point suprême où était parvenu le conflit opposant la France et l'Angleterre. Un temps apaise grâce a Charles V et du Guesclin, il fut ranimé par Henri V d'Angleterre qui, profitant de la folie de Charles VI, de la discorde des princes du sang, de la guerre intestine provoquée par l'opposition des Armagnacs et des Bourguignons, résolut de conquérir le royaume. Il commença par la Normandie, avec le siège d'Harfleur, qui dura plus d'un mois et coûta si cher à l'Anglais qu'il dut renoncer à son entreprise pour rentrer au plus vite à Calais. L'armée française parvint à lui couper la retraite près d'Azincourt, dans l'Artois. Malgré l'opposition du duc de Bourgogne, les Armagnacs et les Bourguignons s'unirent pour en finir avec le roi d'Angleterre. Leur nombre semblait leur assurer la victoire. Mais cet excès de confiance les aveugla. En face d'eux, les Anglais animés par un chef énergique ne laissèrent rien au hasard. Le combat se déroula à pied, dans la boue. Les cavaliers qui faisaient la fierté de l'armée française furent cause du désastre. En voulant être chevaleresque, la chevalerie fut anéantie. Il y eut près de 5 000 morts du côté français. Ce désastre eut pour conséquence le honteux traité de Troyes qui faisait du roi d'Angleterre l'héritier du royaume de France. Dominique Paladilhe - raconte cette bataille qui ne dura qu'un jour. Mais cette journée, comme celles de Poitiers, de Marignan, de Valmy ou de Waterloo, est gravée dans notre mémoire.
Azincourt, 1415
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