L'ordre de l'argent. Critique de l'économie

Par : Nino Fournier
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  • Nombre de pages216
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.286 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,6 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-89578-691-7
  • EAN9782895786917
  • Date de parution09/09/2019
  • ÉditeurLiber (Editions)

Résumé

Qu'est-ce que l'argent, d'où vient-il, pourquoi nous paraît-il si nécessaire et si naturel ? Ces questions constituent le fil rouge de cet ouvrage, qui tente de dénaturaliser l'argent pour mieux s'interroger sur sa place et son rôle dans la société. Naturel, l'argent ne l'est certainement pas. Les discours qui le décrivent comme un objet inévitable de toute vie sociale et un simple instrument d'échange sont à questionner de manière radicale.
Il semblerait presque que l'argent ait été inventé pour définir une société à deux vitesses, pour permettre de séparer ceux qui peuvent payer le prix et ceux qui ne le peuvent pas, de quelque prix qu'il s'agisse et pour quelque bien que ce soit. Si presque tous les philosophes ont parlé d'argent, peu se sont pourtant étonnés de le trouver là devant eux, et peu se sont étonnés de son apparente nécessité.
Tel est le but que se propose cet ouvrage : nous étonner devant l'argent. La question première est donc moins "qu'est-ce que l'argent ? " que "comment se réapproprier cet objet pour le penser ? " . On pourra plus facilement s'interroger ensuite sur le sens que nous voulons donner à l'économie et au politique, sur la place qu'il convient de donner à l'argent et sur le type de relations que nous souhaitons établir les uns avec les autres.
Qu'est-ce que l'argent, d'où vient-il, pourquoi nous paraît-il si nécessaire et si naturel ? Ces questions constituent le fil rouge de cet ouvrage, qui tente de dénaturaliser l'argent pour mieux s'interroger sur sa place et son rôle dans la société. Naturel, l'argent ne l'est certainement pas. Les discours qui le décrivent comme un objet inévitable de toute vie sociale et un simple instrument d'échange sont à questionner de manière radicale.
Il semblerait presque que l'argent ait été inventé pour définir une société à deux vitesses, pour permettre de séparer ceux qui peuvent payer le prix et ceux qui ne le peuvent pas, de quelque prix qu'il s'agisse et pour quelque bien que ce soit. Si presque tous les philosophes ont parlé d'argent, peu se sont pourtant étonnés de le trouver là devant eux, et peu se sont étonnés de son apparente nécessité.
Tel est le but que se propose cet ouvrage : nous étonner devant l'argent. La question première est donc moins "qu'est-ce que l'argent ? " que "comment se réapproprier cet objet pour le penser ? " . On pourra plus facilement s'interroger ensuite sur le sens que nous voulons donner à l'économie et au politique, sur la place qu'il convient de donner à l'argent et sur le type de relations que nous souhaitons établir les uns avec les autres.