L'Offensive du Têt. 30 janvier-mai 1968

Par : Stéphane Mantoux

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  • Nombre de pages223
  • PrésentationBroché
  • Poids0.332 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 1,9 cm
  • ISBN979-10-210-0264-7
  • EAN9791021002647
  • Date de parution29/08/2013
  • CollectionL'histoire en batailles
  • ÉditeurTallandier

Résumé

"Jusqu'au Têt, les Américains pensaient qu'ils pouvaient gagner la guerre, mais à partir de là, ils savaient qu'ils ne le pouvaient pas". Le général Giap, ministre de la Défense nord-vietnamien, ne s'y trompe pas : l'offensive du Têt, lancée fin janvier 1968, constitue bel et bien le tournant de la guerre du Vietnam. Le 30 janvier 1968, à la veille du Nouvel An lunaire vietnamien, le Têt, les vietcongs lancent des assauts simultanés sur Saigon, les positions de l'armée sud-vietnamienne (ARVN) et les installations américaines.
Soutenus par l'armée nord-vietnamienne, ils espèrent ainsi provoquer le soulèvement de la population, alors sous contrôle du régime de Saigon, et entraîner la chute de ce régime et le départ des troupes américaines. Passé l'effet de surprise des premières attaques, Américains et Sud-Vietnamiens combattent vaillamment, notamment à Hué et lors du siège de Khe Sanh, et repoussent leurs ennemis lors de combats acharnés qui durent jusqu'à la fin mai 1968.
Si les Nord-Vietnamiens et le Vietcong ont perdu une bataille (et la moitié des effectifs engagés), le gouvernement américain a perdu, lui, la confiance de sa population et in fine la guerre puisqu'est alors décidé l'arrêt des bombardements sur le Nord-Vietnam, l'ouverture de négociations, ce qui jette les bases du succès final du Nord-Vietnam en 1975.
"Jusqu'au Têt, les Américains pensaient qu'ils pouvaient gagner la guerre, mais à partir de là, ils savaient qu'ils ne le pouvaient pas". Le général Giap, ministre de la Défense nord-vietnamien, ne s'y trompe pas : l'offensive du Têt, lancée fin janvier 1968, constitue bel et bien le tournant de la guerre du Vietnam. Le 30 janvier 1968, à la veille du Nouvel An lunaire vietnamien, le Têt, les vietcongs lancent des assauts simultanés sur Saigon, les positions de l'armée sud-vietnamienne (ARVN) et les installations américaines.
Soutenus par l'armée nord-vietnamienne, ils espèrent ainsi provoquer le soulèvement de la population, alors sous contrôle du régime de Saigon, et entraîner la chute de ce régime et le départ des troupes américaines. Passé l'effet de surprise des premières attaques, Américains et Sud-Vietnamiens combattent vaillamment, notamment à Hué et lors du siège de Khe Sanh, et repoussent leurs ennemis lors de combats acharnés qui durent jusqu'à la fin mai 1968.
Si les Nord-Vietnamiens et le Vietcong ont perdu une bataille (et la moitié des effectifs engagés), le gouvernement américain a perdu, lui, la confiance de sa population et in fine la guerre puisqu'est alors décidé l'arrêt des bombardements sur le Nord-Vietnam, l'ouverture de négociations, ce qui jette les bases du succès final du Nord-Vietnam en 1975.