L'idée de Moyen Age. Entre imaginaire et réalité historique
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.1 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-08-132981-2
- EAN9782081329812
- Date de parution26/02/2014
- CollectionChamps. Histoire
- ÉditeurFlammarion
- TraducteurCorinne Paul-Maier
Résumé
Qu'est-ce que le Moyen Age ? Une époque sombre pleine d'épidémies, de famines, de superstitions ? Un juge d'or lait de tournois, de vie de cour, d'elfes et de fées, de fidélité chevaleresque ? Un moment prometteur qui contiendrait en germe des phénomènes aussi divers que le capitalisme, l'Etat moderne ou l'ascension de la bourgeoisie ? Au fil des siècles, c'est bien un Moyen Age inventé qui a pris corps dans l'imaginaire collectif.
Les historiens, eux, battent en brèche ces représentations simplificatrices. Faut-il parler d'un moyen Age ou de plusieurs ? Fut-il latin ou germanique ? Quel sens donner à la notion de "féodalité" ? Comment chasser l'image homogène d'un "Moyen Age chrétien", quand on sait qu'il connut plusieurs christianismes ? Mais en définitive, suggère Giuseppe Sergi, le Moyen Age aurait surtout été une longue ère expérimentale, où furent éprouvées de nouvelles formes politico-sociales.
A charge pour nous de considérer sans émotivité, sans a priori négatif ni nostalgie "l'abstraction qu'est le Moyen Age" pour voir fonctionner, comme en laboratoire, les hommes et les structures du passé.
Les historiens, eux, battent en brèche ces représentations simplificatrices. Faut-il parler d'un moyen Age ou de plusieurs ? Fut-il latin ou germanique ? Quel sens donner à la notion de "féodalité" ? Comment chasser l'image homogène d'un "Moyen Age chrétien", quand on sait qu'il connut plusieurs christianismes ? Mais en définitive, suggère Giuseppe Sergi, le Moyen Age aurait surtout été une longue ère expérimentale, où furent éprouvées de nouvelles formes politico-sociales.
A charge pour nous de considérer sans émotivité, sans a priori négatif ni nostalgie "l'abstraction qu'est le Moyen Age" pour voir fonctionner, comme en laboratoire, les hommes et les structures du passé.
Qu'est-ce que le Moyen Age ? Une époque sombre pleine d'épidémies, de famines, de superstitions ? Un juge d'or lait de tournois, de vie de cour, d'elfes et de fées, de fidélité chevaleresque ? Un moment prometteur qui contiendrait en germe des phénomènes aussi divers que le capitalisme, l'Etat moderne ou l'ascension de la bourgeoisie ? Au fil des siècles, c'est bien un Moyen Age inventé qui a pris corps dans l'imaginaire collectif.
Les historiens, eux, battent en brèche ces représentations simplificatrices. Faut-il parler d'un moyen Age ou de plusieurs ? Fut-il latin ou germanique ? Quel sens donner à la notion de "féodalité" ? Comment chasser l'image homogène d'un "Moyen Age chrétien", quand on sait qu'il connut plusieurs christianismes ? Mais en définitive, suggère Giuseppe Sergi, le Moyen Age aurait surtout été une longue ère expérimentale, où furent éprouvées de nouvelles formes politico-sociales.
A charge pour nous de considérer sans émotivité, sans a priori négatif ni nostalgie "l'abstraction qu'est le Moyen Age" pour voir fonctionner, comme en laboratoire, les hommes et les structures du passé.
Les historiens, eux, battent en brèche ces représentations simplificatrices. Faut-il parler d'un moyen Age ou de plusieurs ? Fut-il latin ou germanique ? Quel sens donner à la notion de "féodalité" ? Comment chasser l'image homogène d'un "Moyen Age chrétien", quand on sait qu'il connut plusieurs christianismes ? Mais en définitive, suggère Giuseppe Sergi, le Moyen Age aurait surtout été une longue ère expérimentale, où furent éprouvées de nouvelles formes politico-sociales.
A charge pour nous de considérer sans émotivité, sans a priori négatif ni nostalgie "l'abstraction qu'est le Moyen Age" pour voir fonctionner, comme en laboratoire, les hommes et les structures du passé.