L'Hôtel Frugès à Bordeaux

Par : Robert Coustet

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages94
  • PrésentationBroché
  • Poids0.4 kg
  • Dimensions18,0 cm × 24,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-36062-061-6
  • EAN9782360620616
  • Date de parution15/12/2012
  • ÉditeurLe Festin
  • PhotographeMichel Dubau

Résumé

Entre 1913 et 1927, le riche industriel bordelais Henry Baronnet-Frugès fit mettre au goût du jour l’ancien hôtel Davergne, place des Martyrs de la Résistance, pour en faire sa propre demeure. Epris de Moyen Age et d’Orient, passionné d’architecture, de peinture et de musique, son goût éclectique transparaît dans cet hôtel particulier moderne, dont il en confia le chantier à son ami, l’architecte Pierre Ferret.
Il s’entoura pour la décoration intérieure, des meilleurs artistes et artisans bordelais et parisiens du moment. Daum, Jean Dunand, les sculpteurs Gaston Schnegg et Robert Wlérick, les peintres Jean Dupas, Emile Brunet ou Pierre-Louis Cazaubon, le ferronnier Edgar Brandt ou le céramiste René Buthaud conjuguèrent ainsi leur talent pour ce « palais idéal ». De fait, l’hôtel Frugès apparaît comme une oeuvre unique qui, tout en reflétant les goûts d’une personnalité originale, rend compte d’une synthèse des styles entre Art nouveau et Art déco.
Robert Coustet en retrace la passionnante histoire et pousse les portes de la somptueuse maison-musée, en nous guidant pas à pas dans l’intimité de cette demeure de charme.
Entre 1913 et 1927, le riche industriel bordelais Henry Baronnet-Frugès fit mettre au goût du jour l’ancien hôtel Davergne, place des Martyrs de la Résistance, pour en faire sa propre demeure. Epris de Moyen Age et d’Orient, passionné d’architecture, de peinture et de musique, son goût éclectique transparaît dans cet hôtel particulier moderne, dont il en confia le chantier à son ami, l’architecte Pierre Ferret.
Il s’entoura pour la décoration intérieure, des meilleurs artistes et artisans bordelais et parisiens du moment. Daum, Jean Dunand, les sculpteurs Gaston Schnegg et Robert Wlérick, les peintres Jean Dupas, Emile Brunet ou Pierre-Louis Cazaubon, le ferronnier Edgar Brandt ou le céramiste René Buthaud conjuguèrent ainsi leur talent pour ce « palais idéal ». De fait, l’hôtel Frugès apparaît comme une oeuvre unique qui, tout en reflétant les goûts d’une personnalité originale, rend compte d’une synthèse des styles entre Art nouveau et Art déco.
Robert Coustet en retrace la passionnante histoire et pousse les portes de la somptueuse maison-musée, en nous guidant pas à pas dans l’intimité de cette demeure de charme.