L'homme qui aimait les chiens

Par : Leonardo Padura

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  • Nombre de pages670
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.898 kg
  • Dimensions15,3 cm × 23,9 cm × 2,9 cm
  • ISBN978-2-86424-755-5
  • EAN9782864247555
  • Date de parution06/01/2011
  • CollectionBibliothèque Hispano-Américain
  • ÉditeurMétailié
  • TraducteurRené Solis
  • TraducteurElena Zayas

Résumé

En 2004, à la mort de sa femme, Ivan, écrivain frustré et responsable d'un misérable cabinet vétérinaire de La Havane, revient sur sa rencontre en 1977 avec un homme mystérieux qui promenait sur la plage deux lévriers barzoï. Après quelques conversations, "l'homme qui aimait les chiens" lui fait des confidences sur Ramon Mercader, l'assassin de Trotski qu'il semble connaître intimement. Ivan reconstruit les trajectoires de Lev Davidovitch Bronstein, dit Trotski, et de Ramon Mercader, connu aussi comme Jacques Mornard, la façon dont ils sont devenus les acteurs de l'un des crimes les plus révélateurs du XXe siècle. À partir de l'exil de l'un et l'enfance de l'autre, de la Révolution russe à la guerre d'Espagne, il suit ces deux itinéraires jusqu'à leur rencontre dramatique à Mexico. Ces deux histoires prennent tout leur sens lorsque Ivan y projette ses aventures privées et intellectuelles dans la Cuba contemporaine. Dans une écriture puissante, Leonardo Padura raconte, à travers ses personnages ambigus et convaincants, l'histoire des conséquences du mensonge idéologique et de sa force de destruction sur la grande utopie révolutionnaire du XXe siècle ainsi que ses retombées actuelles dans la vie des individus, en particulier à Cuba. Un très grand roman cubain et universel.
En 2004, à la mort de sa femme, Ivan, écrivain frustré et responsable d'un misérable cabinet vétérinaire de La Havane, revient sur sa rencontre en 1977 avec un homme mystérieux qui promenait sur la plage deux lévriers barzoï. Après quelques conversations, "l'homme qui aimait les chiens" lui fait des confidences sur Ramon Mercader, l'assassin de Trotski qu'il semble connaître intimement. Ivan reconstruit les trajectoires de Lev Davidovitch Bronstein, dit Trotski, et de Ramon Mercader, connu aussi comme Jacques Mornard, la façon dont ils sont devenus les acteurs de l'un des crimes les plus révélateurs du XXe siècle. À partir de l'exil de l'un et l'enfance de l'autre, de la Révolution russe à la guerre d'Espagne, il suit ces deux itinéraires jusqu'à leur rencontre dramatique à Mexico. Ces deux histoires prennent tout leur sens lorsque Ivan y projette ses aventures privées et intellectuelles dans la Cuba contemporaine. Dans une écriture puissante, Leonardo Padura raconte, à travers ses personnages ambigus et convaincants, l'histoire des conséquences du mensonge idéologique et de sa force de destruction sur la grande utopie révolutionnaire du XXe siècle ainsi que ses retombées actuelles dans la vie des individus, en particulier à Cuba. Un très grand roman cubain et universel.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.7/5
sur 3 notes dont 2 avis lecteurs
un livre passionnant et instructif
Je rejoins l'avis et le compte rendu d'Hélène. Le stalinisme, perversion criminelle du communiste, apparait démasqué. La pensée de Trotski "baigne" le roman. Admirable livre!
Je rejoins l'avis et le compte rendu d'Hélène. Le stalinisme, perversion criminelle du communiste, apparait démasqué. La pensée de Trotski "baigne" le roman. Admirable livre!
Un certain regard sur le communisme en 650 pages
C'est l'histoire romancée (je souligne car dans ses remerciements l'auteur insiste sur ce thème) de trois personnages et de trois pays et même davantage. C'est un roman envahit par l'Histoire, celle que l'on enseigne avec parcimonie pour ne pas dévoiler des secrets indécents, celle que l'on enseigne déformée, celle que l'on n'enseigne pas du tout sur les bancs des écoles. C'est l'Histoire à travers des histoires de vie. Yván, cubain désabusé et cabossé par cette vie de prisonnier insulaire. Lev Davidovitch Bronstein, plus connu sous le nom de Léon Trotsky, ukrainien, révolutionnaire, exilé et assassiné à Mexico. Ramón Mercader del Rio, catalan, communiste, petit soldat d'obéissance russe. Ces trois personnages vont se croiser dans des lieux et des époques différentes. D'autres gravitent dans leur sillage en laissant des traces de différentes profondeurs. Personne ne ressort indemne.¶ Même moi. Je me (re)pose des questions sur le pouvoir et l'avidité de certaines personnes, l'endoctrinement, les actes ignobles que l'on peut commettre au nom d'une cause ... c'était au siècle passé et c'est toujours d'actualité dans ce siècle là et dans des lieux si nombreux ... Voilà j'ai aimé me plonger dans ces pages d'histoires, d'Histoire. Je n'ai pas vu défiler toutes ces pages tellement c'était dense. J'ai aimé l'écriture. Juste en tournant quelques pages.
C'est l'histoire romancée (je souligne car dans ses remerciements l'auteur insiste sur ce thème) de trois personnages et de trois pays et même davantage. C'est un roman envahit par l'Histoire, celle que l'on enseigne avec parcimonie pour ne pas dévoiler des secrets indécents, celle que l'on enseigne déformée, celle que l'on n'enseigne pas du tout sur les bancs des écoles. C'est l'Histoire à travers des histoires de vie. Yván, cubain désabusé et cabossé par cette vie de prisonnier insulaire. Lev Davidovitch Bronstein, plus connu sous le nom de Léon Trotsky, ukrainien, révolutionnaire, exilé et assassiné à Mexico. Ramón Mercader del Rio, catalan, communiste, petit soldat d'obéissance russe. Ces trois personnages vont se croiser dans des lieux et des époques différentes. D'autres gravitent dans leur sillage en laissant des traces de différentes profondeurs. Personne ne ressort indemne.¶ Même moi. Je me (re)pose des questions sur le pouvoir et l'avidité de certaines personnes, l'endoctrinement, les actes ignobles que l'on peut commettre au nom d'une cause ... c'était au siècle passé et c'est toujours d'actualité dans ce siècle là et dans des lieux si nombreux ... Voilà j'ai aimé me plonger dans ces pages d'histoires, d'Histoire. Je n'ai pas vu défiler toutes ces pages tellement c'était dense. J'ai aimé l'écriture. Juste en tournant quelques pages.
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