Publié en 1979, ce livre est l’un des premiers ouvrages de Daniel Arasse. Premier élan d’une ambition de confronter son point de vue à celui des grands historiens de la culture et de l’art de la Renaissance italienne, il occupe une place importante dans l’œuvre de cet historien, spécialiste de l’art italien, dont les recherches ont ouvert la voie d’une nouvelle approche de l’histoire de l’art. Dans sa quête de « ce que les hommes du XIVe et XVe cherchaient à travers les images », Daniel Arasse insiste sur « la diversité des cultures et des traditions locales, parallèlement au modèle toscan ».
Avec lui, on regarde d’un œil neuf « ces images italiennes du Trecento et du Quattrocento. Les hommes d’Italie y formulent, selon lui, une nouvelle figuration du monde et de l’homme, fondée sur une conscience progressive de leurs dimensions historiques et qui résonne parfois comme un appel à la prise en responsabilité de l’ensemble de l’histoire ».
Publié en 1979, ce livre est l’un des premiers ouvrages de Daniel Arasse. Premier élan d’une ambition de confronter son point de vue à celui des grands historiens de la culture et de l’art de la Renaissance italienne, il occupe une place importante dans l’œuvre de cet historien, spécialiste de l’art italien, dont les recherches ont ouvert la voie d’une nouvelle approche de l’histoire de l’art. Dans sa quête de « ce que les hommes du XIVe et XVe cherchaient à travers les images », Daniel Arasse insiste sur « la diversité des cultures et des traditions locales, parallèlement au modèle toscan ».
Avec lui, on regarde d’un œil neuf « ces images italiennes du Trecento et du Quattrocento. Les hommes d’Italie y formulent, selon lui, une nouvelle figuration du monde et de l’homme, fondée sur une conscience progressive de leurs dimensions historiques et qui résonne parfois comme un appel à la prise en responsabilité de l’ensemble de l’histoire ».