L'Homme A La Colombe. Version Definitive

Par : Romain Gary
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  • Nombre de pages167
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.19 kg
  • Dimensions11,9 cm × 18,6 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-07-070033-X
  • EAN9782070700332
  • Date de parution01/02/1984
  • CollectionBlanche
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Romain Gary avait publié ce roman en 1958, sous le pseudonyme de Fosco Sinibaldi. C'est en effet un roman satirique sur l'O.N.U., et Gary, à l'époque, occupait des fonctions diplomatiques qui l'empêchaient de signer un tel livre. Il a remanié L'homme à la colombe avec l'intention d'en faire une nouvelle publication, et c'est ce texte, retrouvé dans ses papiers, que nous publions aujourd'hui. L'O.N.U.
est en émoi. Un fantôme, portant une colombe, terrorise les dactylos qui font des heures supplémentaires le soir dans le gratte-ciel de l'Organisation à New York. On découvre qu'il s'agit d'un jeune cow-boy du Texas, dont le père est un magnat des pétroles. Johnnie, c'est le jeune homme, est venu dans l'Est faire des études supérieures. Celles-ci ont fait de lui un intellectuel, et son père lui a coupé les vivres derechef.
Johnnie s'est dévoué avec passion à l'idéal des Nations Unies. Pour contempler de près cette conscience du monde, il s'est fait loger avec sa colombe dans un réduit secret du building de l'O.N.U. par un cireur de chaussures de ses amis. Au bout de quelques jours, Johnnie a compris que l'O.N.U. est une farce, une grande turbine qui marche au quart de tour, mais n'entraîne aucun moteur. Sa déception prend les proportions d'un désespoir métaphysique.
Il décide de perdre l'O.N.U. aux yeux du monde. À cette fin, il monte une machination qui doit ridiculiser l'Organisation et lui rapporter accessoirement beaucoup d'argent. Son complot lui apporte une gloire universelle. Mais lorsque, en exécution de son plan, il révèle qu'il n'est qu'un imposteur, on ne le croit pas. Touché par la vraie grâce onusienne, il fait la grève de la faim et meurt. On l'enterre au Texas avec sa colombe.
Romain Gary avait publié ce roman en 1958, sous le pseudonyme de Fosco Sinibaldi. C'est en effet un roman satirique sur l'O.N.U., et Gary, à l'époque, occupait des fonctions diplomatiques qui l'empêchaient de signer un tel livre. Il a remanié L'homme à la colombe avec l'intention d'en faire une nouvelle publication, et c'est ce texte, retrouvé dans ses papiers, que nous publions aujourd'hui. L'O.N.U.
est en émoi. Un fantôme, portant une colombe, terrorise les dactylos qui font des heures supplémentaires le soir dans le gratte-ciel de l'Organisation à New York. On découvre qu'il s'agit d'un jeune cow-boy du Texas, dont le père est un magnat des pétroles. Johnnie, c'est le jeune homme, est venu dans l'Est faire des études supérieures. Celles-ci ont fait de lui un intellectuel, et son père lui a coupé les vivres derechef.
Johnnie s'est dévoué avec passion à l'idéal des Nations Unies. Pour contempler de près cette conscience du monde, il s'est fait loger avec sa colombe dans un réduit secret du building de l'O.N.U. par un cireur de chaussures de ses amis. Au bout de quelques jours, Johnnie a compris que l'O.N.U. est une farce, une grande turbine qui marche au quart de tour, mais n'entraîne aucun moteur. Sa déception prend les proportions d'un désespoir métaphysique.
Il décide de perdre l'O.N.U. aux yeux du monde. À cette fin, il monte une machination qui doit ridiculiser l'Organisation et lui rapporter accessoirement beaucoup d'argent. Son complot lui apporte une gloire universelle. Mais lorsque, en exécution de son plan, il révèle qu'il n'est qu'un imposteur, on ne le croit pas. Touché par la vraie grâce onusienne, il fait la grève de la faim et meurt. On l'enterre au Texas avec sa colombe.
Romain Gary
Romain Gary, né le 8 mai 1914 en Lituanie et décédé le 2 décembre 1980 à Paris, est un romancier français. De son vrai nom Roman Kacew, il a également publié sous les pseudonymes d’Emile Ajar, Shatan Bogat et Fosco Sinibaldi. Arrivé à l’âge de 14 ans en France, il s’installe à Nice avec sa mère, suit des études de droit, puis entre dans l’armée de l’air. Dès juin 1940 il s’engage dans les Forces Aériennes Françaises Libres et choisit alors d’écrire sous le nom de Gary, qui signifie " brûle " en russe. L'auteur est prolixe et publie une trentaine de titres sous le nom qu’il s’est choisi durant la Résistance, parmi lesquels " Education européenne " en 1945, ou " Clair de Femme " en 1977, mais également quatre titres sous le nom d’Emile Ajar, dont " L'angoisse du roi Salomon"  et " Gros-Câlin ". Il est à ce jour le seul écrivain distingué deux fois par le Goncourt : en 1956 pour " Les Racines du ciel " sous le nom de Gary et en 1975 avec " La Vie devant soi ", signé Emile Ajar.
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