L'histoire vraie de la mafia israélienne. Tel-Aviv, Paris, Anvers, New York... Enquête au coeur de la criminalité organisée de l'Etat hébreu

Par : Serge Dumont

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  • Nombre de pages439
  • PrésentationBroché
  • Poids0.59 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,3 cm
  • ISBN978-2-35887-063-4
  • EAN9782358870634
  • Date de parution18/11/2013
  • ÉditeurLa Manufacture de livres

Résumé

10 janvier 2013, attentat en plein centre de Tel-Aviv, neuf blessés, mais ce n'est pas une faction terroriste palestinienne qui est impliquée : la cible s'appelle Nissim Alperon, le chef de l'une des familles du crime organisé israélien. Chaque semaine, on annonce des règlements de compte. Les organisations mafieuses israéliennes comptent parmi les plus efficaces de la plante. Parmi les plus violentes et les moins connues également.
Certaines se contentent d'opérer à l'intérieur de l'Etat hébreu et dans les pays voisins, mais d'autres se sont implantées en Europe de l'est et de l'ouest, dans les principales villes du continent américain, ainsi qu'en Afrique du sud, en Australie et au Japon. Au début des années 90, la mafia israélienne de New-York terrorisait la ville en traitant d'égal à égal avec son homologue russe et sicilienne.
Prostitution, blanchiment d'argent, racket, drogue, trafic d'armes, recel de biens volés, contrebande des diamants. Les activités de cette mafia sont nombreuses. L'arrivée massif des juifs d'ex-URSS à partir de 1989 a drainé de nombreux criminels russes dans le pays, qui ont vu Israël comme un endroit idéal pour blanchir de l'argent grâce à la libre circulation des capitaux et à un système bancaire favorable.
Le crime organisé russe s'est donc cherché une place dans un environnement déjà encombré par les Israéliens "de souche" et les juifs d'Afrique du nord arrivés après l'indépendance d'Israël dans les années 1955-62. S'en est suivie une guerre de gangs qui a éliminé beaucoup de mafieux délogés par les nouveaux venus. Aujourd'hui, six familles règnent sur les syndicats du crime : Abergel, Abitbol, Alperon et Rosenstein.
La famille Abitbol, plus connut sous le surnom du grand-père Baïza, est francophone et dispose de nombreuses boucheries casher de gros et de détail à Paris, elle est installée à Netanya et à Montréal. Les clans Mulner, Shirazi, Cohen, Harari, Ohana, Kdoshim et Domrani sont eux entrés dans le monde du crime à l'occasion de règlements de compte sanglants relatés par Serge Dumont.
10 janvier 2013, attentat en plein centre de Tel-Aviv, neuf blessés, mais ce n'est pas une faction terroriste palestinienne qui est impliquée : la cible s'appelle Nissim Alperon, le chef de l'une des familles du crime organisé israélien. Chaque semaine, on annonce des règlements de compte. Les organisations mafieuses israéliennes comptent parmi les plus efficaces de la plante. Parmi les plus violentes et les moins connues également.
Certaines se contentent d'opérer à l'intérieur de l'Etat hébreu et dans les pays voisins, mais d'autres se sont implantées en Europe de l'est et de l'ouest, dans les principales villes du continent américain, ainsi qu'en Afrique du sud, en Australie et au Japon. Au début des années 90, la mafia israélienne de New-York terrorisait la ville en traitant d'égal à égal avec son homologue russe et sicilienne.
Prostitution, blanchiment d'argent, racket, drogue, trafic d'armes, recel de biens volés, contrebande des diamants. Les activités de cette mafia sont nombreuses. L'arrivée massif des juifs d'ex-URSS à partir de 1989 a drainé de nombreux criminels russes dans le pays, qui ont vu Israël comme un endroit idéal pour blanchir de l'argent grâce à la libre circulation des capitaux et à un système bancaire favorable.
Le crime organisé russe s'est donc cherché une place dans un environnement déjà encombré par les Israéliens "de souche" et les juifs d'Afrique du nord arrivés après l'indépendance d'Israël dans les années 1955-62. S'en est suivie une guerre de gangs qui a éliminé beaucoup de mafieux délogés par les nouveaux venus. Aujourd'hui, six familles règnent sur les syndicats du crime : Abergel, Abitbol, Alperon et Rosenstein.
La famille Abitbol, plus connut sous le surnom du grand-père Baïza, est francophone et dispose de nombreuses boucheries casher de gros et de détail à Paris, elle est installée à Netanya et à Montréal. Les clans Mulner, Shirazi, Cohen, Harari, Ohana, Kdoshim et Domrani sont eux entrés dans le monde du crime à l'occasion de règlements de compte sanglants relatés par Serge Dumont.