Quarante objets de nos trottoirs, ramassés, classifiés. Autant de haïkus, composés en leur honneur. Six cent quatre-vingts syllabes qui dressent le portrait de la ville telle qu'elle vit et du monde tel qu'il se défait.
Quarante objets de nos trottoirs, ramassés, classifiés. Autant de haïkus, composés en leur honneur. Six cent quatre-vingts syllabes qui dressent le portrait de la ville telle qu'elle vit et du monde tel qu'il se défait.