L'éveil des consciences. Textes poétiques

Par : Eric Wachter

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  • Nombre de pages43
  • PrésentationBroché
  • Poids0.075 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,2 cm
  • ISBN978-2-7500-0667-9
  • EAN9782750006679
  • Date de parution02/06/2011
  • ÉditeurLa Bruyère éditions

Résumé

Je ne suis qu’une poussière abreuvée de colère, Une absurdité de plus dans cette humanité en guerre. Un être simple outrageusement révolté, Qui n’arrive plus à collaborer. Le sommeil est une vague connaissance, Oublié par mes songes à force d’imprudence. J’aurais pu ne pas chercher à savoir, J’aurais pu ignorer les enfants soldats, sacrifiés par l’histoire. Faire comme si les famines n’assassinaient pas, Faire comme si la France ne me décevait pas. J’aurais pu louer les bienfaits de la mondialisation, Ignorer que l’exploitation se cache derrière la moindre de nos considérations. Accepter que la misère fasse partie de notre monde, Accepter de faire partie intégrante de cet avenir immonde. Quelle conscience exacerbée, Maudit décompte de tout ces assassinés. Je dédie ces quelques lignes à tout les insoumis, A tout ceux qui pensent qu’amour rime avec vie, Otage de l’indifférence, J’ignore mes souffrances et supplie l’homme d’enfanter l’éveil des consciences.
Je ne suis qu’une poussière abreuvée de colère, Une absurdité de plus dans cette humanité en guerre. Un être simple outrageusement révolté, Qui n’arrive plus à collaborer. Le sommeil est une vague connaissance, Oublié par mes songes à force d’imprudence. J’aurais pu ne pas chercher à savoir, J’aurais pu ignorer les enfants soldats, sacrifiés par l’histoire. Faire comme si les famines n’assassinaient pas, Faire comme si la France ne me décevait pas. J’aurais pu louer les bienfaits de la mondialisation, Ignorer que l’exploitation se cache derrière la moindre de nos considérations. Accepter que la misère fasse partie de notre monde, Accepter de faire partie intégrante de cet avenir immonde. Quelle conscience exacerbée, Maudit décompte de tout ces assassinés. Je dédie ces quelques lignes à tout les insoumis, A tout ceux qui pensent qu’amour rime avec vie, Otage de l’indifférence, J’ignore mes souffrances et supplie l’homme d’enfanter l’éveil des consciences.