L'éthique du souvenir

Par : Avishai Margalit

Formats :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages218
  • PrésentationBroché
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-08-210544-X
  • EAN9782082105446
  • Date de parution10/02/2006
  • ÉditeurFlammarion
  • PréfacierClaude Chastagner

Résumé

Un officier se fait lyncher par la presse de son pays après avoir, lors d'une cérémonie, oublié le nom d'un de ses jeunes soldats mort peu de temps avant lors d'une opération. A-t-il commis une faute ? Quel est le rôle du souvenir dans notre vie intime, et dans la vie collective d'une nation ? Sommes-nous dans l'obligation de nous souvenir des gens et des événements passés ? Si oui, de quelle nature est cette obligation ? Le fait de se souvenir ou d'oublier est-il un motif valable de louange ou de condamnation morales ? S'il n'existe pas de morale du souvenir, il existe bien une éthique du souvenir. Elle doit s'efforcer de comprendre en quoi consiste la fidélité au passé. Revivre le passé, ce n'est pas seulement en retrouver le sens, mais toute sa sensibilité.
Un officier se fait lyncher par la presse de son pays après avoir, lors d'une cérémonie, oublié le nom d'un de ses jeunes soldats mort peu de temps avant lors d'une opération. A-t-il commis une faute ? Quel est le rôle du souvenir dans notre vie intime, et dans la vie collective d'une nation ? Sommes-nous dans l'obligation de nous souvenir des gens et des événements passés ? Si oui, de quelle nature est cette obligation ? Le fait de se souvenir ou d'oublier est-il un motif valable de louange ou de condamnation morales ? S'il n'existe pas de morale du souvenir, il existe bien une éthique du souvenir. Elle doit s'efforcer de comprendre en quoi consiste la fidélité au passé. Revivre le passé, ce n'est pas seulement en retrouver le sens, mais toute sa sensibilité.