L'été pourri

Par : Raymond Ceuppens
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  • Nombre de pages256
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-207-22813-4
  • EAN9782207228135
  • Date de parution01/09/1982
  • ÉditeurDenoël

Résumé

D'abord le décor : l'estuaire de l'Escaut avec affluents, canaux, terres bourbeuses, chantiers maritimes abandonnés, masures, une autoroute, une ville au loin. De l'eau partout, brouillard et pluies. Au milieu de ce paysage élémentaire, des personnages instinctifs, peu parlants qui se divisent en groupes autour de Gaétan, héros central : sa famille, mère serveuse dans un restaurant, soeurs oisives ; les Besnoit, voisins accueillants mais pusillanimes ; ceux du Hoek, Is, Selma sa femme, Sibel leur fille.
Quant à Gaétan - est-ce un enfant ? un demeuré ? -, il va d'un lieu à un autre, d'un personnage à un autre sur son vélo, des lunettes sales au bout du nez. Il réfléchit beaucoup. Avec difficulté. Il pressent une certaine unité des choses à travers ses jeux d'enfants, ses émois érotiques, ses perpétuels déplacements d'âme en peine. Peu à peu, sa vision du monde se décante et, dans les dernières pages, l'illumination lui vient.
Ce roman dégage une présence des objets et des êtres, une chaleur humaine, une luminosité poétique exceptionnelles.
D'abord le décor : l'estuaire de l'Escaut avec affluents, canaux, terres bourbeuses, chantiers maritimes abandonnés, masures, une autoroute, une ville au loin. De l'eau partout, brouillard et pluies. Au milieu de ce paysage élémentaire, des personnages instinctifs, peu parlants qui se divisent en groupes autour de Gaétan, héros central : sa famille, mère serveuse dans un restaurant, soeurs oisives ; les Besnoit, voisins accueillants mais pusillanimes ; ceux du Hoek, Is, Selma sa femme, Sibel leur fille.
Quant à Gaétan - est-ce un enfant ? un demeuré ? -, il va d'un lieu à un autre, d'un personnage à un autre sur son vélo, des lunettes sales au bout du nez. Il réfléchit beaucoup. Avec difficulté. Il pressent une certaine unité des choses à travers ses jeux d'enfants, ses émois érotiques, ses perpétuels déplacements d'âme en peine. Peu à peu, sa vision du monde se décante et, dans les dernières pages, l'illumination lui vient.
Ce roman dégage une présence des objets et des êtres, une chaleur humaine, une luminosité poétique exceptionnelles.