L'esthète des lenteurs. Plaidoyer pour une France du milieu

Par : Florent Machabert

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  • Nombre de pages96
  • PrésentationBroché
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,5 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-7301-0217-9
  • EAN9782730102179
  • Date de parution17/03/2008
  • ÉditeurLettres du Monde
  • PréfacierLaurent Wauquiez

Résumé

Janvier 2002. Dominique Strauss-Kahn déclare à Michèle Alliot-Marie : " Vous avez raison de dire que le souci que nous devons avoir pour les dix ans qui viennent, c'est de nous occuper de façon très prioritaire de ce qui se passe dans les couches moyennes de notre pays. " Six ans se sont écoulés. Alors que le premier est devenu directeur général du Fonds Monétaire International et la seconde Ministre de l'Intérieur après cinq ans au ministère de la Défense, qu'est devenu cet impératif ? C'est l'un des très nombreux " angles morts du rétroviseur politique " que tente d'analyser cet essai, qui fait l'apologie d'une action politique nourrie d'un engagement intellectuel libre et personnel, que l'auteur fonde et détaille jusque dans ses principes philosophiques.
Ode à la Lenteur, plaidoyer pour le bon sens, le refus du dogmatisme et de l'idéologie l'emporte, qu'il s'agisse de l'éducation et de la démocratie en France, de la crise traversée par l'Europe ou des enjeux planétaires. Résolument du côté de l'homme de valeur face au courtisan, l'auteur nous invite donc à un voyage aussi lyrique que pragmatique, au pays de la Politique, fille de la Philosophie, mais cousine du pouvoir qui la rend trop souvent orpheline.
Une belle page de philosophie politique, écrite sans prétention, dans le style à la fois conceptuel et réaliste, énergique et posé, de ce jeune auteur de 23 ans
Janvier 2002. Dominique Strauss-Kahn déclare à Michèle Alliot-Marie : " Vous avez raison de dire que le souci que nous devons avoir pour les dix ans qui viennent, c'est de nous occuper de façon très prioritaire de ce qui se passe dans les couches moyennes de notre pays. " Six ans se sont écoulés. Alors que le premier est devenu directeur général du Fonds Monétaire International et la seconde Ministre de l'Intérieur après cinq ans au ministère de la Défense, qu'est devenu cet impératif ? C'est l'un des très nombreux " angles morts du rétroviseur politique " que tente d'analyser cet essai, qui fait l'apologie d'une action politique nourrie d'un engagement intellectuel libre et personnel, que l'auteur fonde et détaille jusque dans ses principes philosophiques.
Ode à la Lenteur, plaidoyer pour le bon sens, le refus du dogmatisme et de l'idéologie l'emporte, qu'il s'agisse de l'éducation et de la démocratie en France, de la crise traversée par l'Europe ou des enjeux planétaires. Résolument du côté de l'homme de valeur face au courtisan, l'auteur nous invite donc à un voyage aussi lyrique que pragmatique, au pays de la Politique, fille de la Philosophie, mais cousine du pouvoir qui la rend trop souvent orpheline.
Une belle page de philosophie politique, écrite sans prétention, dans le style à la fois conceptuel et réaliste, énergique et posé, de ce jeune auteur de 23 ans