L'équilibre de la terreur. 1956-1969
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- Poids0.44 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7357-0313-5
- EAN9782735703135
- Date de parution17/09/2009
- CollectionLes dossiers de guerre froide
- ÉditeurAcropole
Résumé
L'année 1956 inaugure une période pleine d'espoir. A l'Est, après plus d'un quart de siècle de stalinisme, l'URSS et ses satellites se prennent à espérer en un monde meilleur. Khrouchtchev semble d'abord leur donner raison. Il lance la déstalinisation, défend la coexistence pacifique, allège la terreur. Puis, très vite, il réprime dans le sang l'insurrection de Budapest, fait élever un mur à Berlin et livre compétition jusque dans le ciel avec le Spoutnik.
A l'Ouest, après deux mandats d'Eisenhower, les Américains s'enthousiasment pour un président plus souple, partisan d'une riposte " graduée " et non plus " massive ", mais le charismatique John F. Kennedy porte le budget de la Défense américaine à son niveau le plus élevé en temps de paix. Le champ de bataille entre les deux Grands s'élargit à l'Amérique latine, l'Afrique, la Méditerranée. Les scandales Powers, Profumo, Philby...
défraient la chronique. Il n'est donc pas si surprenant qu'éclate, avec l'affaire de Cuba, la pire crise de la Guerre froide et qu'en 1962, la planète se retrouve au bord d'une Troisième Guerre mondiale. Cette démonstration Faite, les deux Grands dirigés par deux hommes nouveaux, Brejnev et Johnson, apaisent le jeu sans empêcher nombre de guerres chaudes. Face à cet immobilisme, les jeunes générations protestent, c'est la révolte de 1968.
A l'Ouest, les dirigeants finissent par ramener le calme. A l'Est, ils répriment manifestations et soulèvements toujours de la même manière et le printemps de Prague s'achève dans le sang.
A l'Ouest, après deux mandats d'Eisenhower, les Américains s'enthousiasment pour un président plus souple, partisan d'une riposte " graduée " et non plus " massive ", mais le charismatique John F. Kennedy porte le budget de la Défense américaine à son niveau le plus élevé en temps de paix. Le champ de bataille entre les deux Grands s'élargit à l'Amérique latine, l'Afrique, la Méditerranée. Les scandales Powers, Profumo, Philby...
défraient la chronique. Il n'est donc pas si surprenant qu'éclate, avec l'affaire de Cuba, la pire crise de la Guerre froide et qu'en 1962, la planète se retrouve au bord d'une Troisième Guerre mondiale. Cette démonstration Faite, les deux Grands dirigés par deux hommes nouveaux, Brejnev et Johnson, apaisent le jeu sans empêcher nombre de guerres chaudes. Face à cet immobilisme, les jeunes générations protestent, c'est la révolte de 1968.
A l'Ouest, les dirigeants finissent par ramener le calme. A l'Est, ils répriment manifestations et soulèvements toujours de la même manière et le printemps de Prague s'achève dans le sang.
L'année 1956 inaugure une période pleine d'espoir. A l'Est, après plus d'un quart de siècle de stalinisme, l'URSS et ses satellites se prennent à espérer en un monde meilleur. Khrouchtchev semble d'abord leur donner raison. Il lance la déstalinisation, défend la coexistence pacifique, allège la terreur. Puis, très vite, il réprime dans le sang l'insurrection de Budapest, fait élever un mur à Berlin et livre compétition jusque dans le ciel avec le Spoutnik.
A l'Ouest, après deux mandats d'Eisenhower, les Américains s'enthousiasment pour un président plus souple, partisan d'une riposte " graduée " et non plus " massive ", mais le charismatique John F. Kennedy porte le budget de la Défense américaine à son niveau le plus élevé en temps de paix. Le champ de bataille entre les deux Grands s'élargit à l'Amérique latine, l'Afrique, la Méditerranée. Les scandales Powers, Profumo, Philby...
défraient la chronique. Il n'est donc pas si surprenant qu'éclate, avec l'affaire de Cuba, la pire crise de la Guerre froide et qu'en 1962, la planète se retrouve au bord d'une Troisième Guerre mondiale. Cette démonstration Faite, les deux Grands dirigés par deux hommes nouveaux, Brejnev et Johnson, apaisent le jeu sans empêcher nombre de guerres chaudes. Face à cet immobilisme, les jeunes générations protestent, c'est la révolte de 1968.
A l'Ouest, les dirigeants finissent par ramener le calme. A l'Est, ils répriment manifestations et soulèvements toujours de la même manière et le printemps de Prague s'achève dans le sang.
A l'Ouest, après deux mandats d'Eisenhower, les Américains s'enthousiasment pour un président plus souple, partisan d'une riposte " graduée " et non plus " massive ", mais le charismatique John F. Kennedy porte le budget de la Défense américaine à son niveau le plus élevé en temps de paix. Le champ de bataille entre les deux Grands s'élargit à l'Amérique latine, l'Afrique, la Méditerranée. Les scandales Powers, Profumo, Philby...
défraient la chronique. Il n'est donc pas si surprenant qu'éclate, avec l'affaire de Cuba, la pire crise de la Guerre froide et qu'en 1962, la planète se retrouve au bord d'une Troisième Guerre mondiale. Cette démonstration Faite, les deux Grands dirigés par deux hommes nouveaux, Brejnev et Johnson, apaisent le jeu sans empêcher nombre de guerres chaudes. Face à cet immobilisme, les jeunes générations protestent, c'est la révolte de 1968.
A l'Ouest, les dirigeants finissent par ramener le calme. A l'Est, ils répriment manifestations et soulèvements toujours de la même manière et le printemps de Prague s'achève dans le sang.