L'énigme conjugale. Femme et mariage en Asie
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.45 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
- ISBN2-84516-123-9
- EAN9782845161238
- Date de parution01/10/2000
- CollectionAnthropologie
- ÉditeurPU Blaise-Pascal
Résumé
La question du mariage pour la femme asiatique, comme pour beaucoup de femmes du monde, est primordiale. De lui dépendent son avenir, sa reconnaissance sociale et peut-être son accomplissement personnel. Curieusement, si les ouvrages consacrés aux femmes abondent, ils n'offrent que peu d'éléments sur la relation conjugale. En Asie, comme ailleurs, les enjeux du mariage sont culturellement construits et délimitent la faible marge de manoeuvre laissée à la femme.
Cet espace de liberté restreint est précisément l'objet des dix articles de cet ouvrage. Les auteurs se sont attachés à comprendre si les femmes ont un pouvoir limité aux domaines qui leur sont assignés ou si elles disposent d'un pouvoir comparable à celui des hommes. Ce livre n 'esquive pas les problèmes que pose ce thème à l'ethnologie, notamment ceux liés au "silence" des femmes sur des questions aussi intimes.
La relation conjugale est explorée à travers des sources écrites et des matériaux ethnographiques. Hormis le cas des Puyuma de Taïwan et celui des Iatmul de Papouasie Nouvelle-Guinée, tous traitent de groupes majoritaires de la région (Birmans, Chinois Han, Coréens, Lao, Thaïs, Vietnamiens et Bengalis).
Cet espace de liberté restreint est précisément l'objet des dix articles de cet ouvrage. Les auteurs se sont attachés à comprendre si les femmes ont un pouvoir limité aux domaines qui leur sont assignés ou si elles disposent d'un pouvoir comparable à celui des hommes. Ce livre n 'esquive pas les problèmes que pose ce thème à l'ethnologie, notamment ceux liés au "silence" des femmes sur des questions aussi intimes.
La relation conjugale est explorée à travers des sources écrites et des matériaux ethnographiques. Hormis le cas des Puyuma de Taïwan et celui des Iatmul de Papouasie Nouvelle-Guinée, tous traitent de groupes majoritaires de la région (Birmans, Chinois Han, Coréens, Lao, Thaïs, Vietnamiens et Bengalis).
La question du mariage pour la femme asiatique, comme pour beaucoup de femmes du monde, est primordiale. De lui dépendent son avenir, sa reconnaissance sociale et peut-être son accomplissement personnel. Curieusement, si les ouvrages consacrés aux femmes abondent, ils n'offrent que peu d'éléments sur la relation conjugale. En Asie, comme ailleurs, les enjeux du mariage sont culturellement construits et délimitent la faible marge de manoeuvre laissée à la femme.
Cet espace de liberté restreint est précisément l'objet des dix articles de cet ouvrage. Les auteurs se sont attachés à comprendre si les femmes ont un pouvoir limité aux domaines qui leur sont assignés ou si elles disposent d'un pouvoir comparable à celui des hommes. Ce livre n 'esquive pas les problèmes que pose ce thème à l'ethnologie, notamment ceux liés au "silence" des femmes sur des questions aussi intimes.
La relation conjugale est explorée à travers des sources écrites et des matériaux ethnographiques. Hormis le cas des Puyuma de Taïwan et celui des Iatmul de Papouasie Nouvelle-Guinée, tous traitent de groupes majoritaires de la région (Birmans, Chinois Han, Coréens, Lao, Thaïs, Vietnamiens et Bengalis).
Cet espace de liberté restreint est précisément l'objet des dix articles de cet ouvrage. Les auteurs se sont attachés à comprendre si les femmes ont un pouvoir limité aux domaines qui leur sont assignés ou si elles disposent d'un pouvoir comparable à celui des hommes. Ce livre n 'esquive pas les problèmes que pose ce thème à l'ethnologie, notamment ceux liés au "silence" des femmes sur des questions aussi intimes.
La relation conjugale est explorée à travers des sources écrites et des matériaux ethnographiques. Hormis le cas des Puyuma de Taïwan et celui des Iatmul de Papouasie Nouvelle-Guinée, tous traitent de groupes majoritaires de la région (Birmans, Chinois Han, Coréens, Lao, Thaïs, Vietnamiens et Bengalis).
