L'écran rouge. Syndicalisme et cinéma de Gabin à Belmondo

Par : Tangui Perron
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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.782 kg
  • Dimensions17,6 cm × 26,6 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-7082-4561-7
  • EAN9782708245617
  • Date de parution17/05/2018
  • ÉditeurEditions de l'Atelier
  • Préfacier Costa-Gavras
  • PostfacierPhilippe Martinez

Résumé

Jean Gabin, cheminot couvert de suie dans La Bête humaine, Simone Signoret et Jean Marais en tête d'un cortège de manifestants, Gérard Philipe et Jean-Paul Belmondo, leaders syndicaux, Jean Renoir, réalisateur d'une Marseillaise financée par une souscription de la CGT, René Clément magnifiant la Résistance dans La Bataille du rail... Durant ces années de Front populaire, de résistance au nazisme et de Libération, les classes populaires sont à la fois dans les salles et sur les bobines de films, des ouvriers tiennent les premiers rôles, les techniciens occupent les studios, les stars écrivent et distribuent des tracts.
Tous descendent dans la rue pour défendre un cinéma français menacé par la déferlante hollywoodienne. L'Ecran rouge raconte une histoire oubliée, à la fois artistique et militante, à laquelle le cinéma français, l'un des plus vivants au monde, doit beaucoup.
Jean Gabin, cheminot couvert de suie dans La Bête humaine, Simone Signoret et Jean Marais en tête d'un cortège de manifestants, Gérard Philipe et Jean-Paul Belmondo, leaders syndicaux, Jean Renoir, réalisateur d'une Marseillaise financée par une souscription de la CGT, René Clément magnifiant la Résistance dans La Bataille du rail... Durant ces années de Front populaire, de résistance au nazisme et de Libération, les classes populaires sont à la fois dans les salles et sur les bobines de films, des ouvriers tiennent les premiers rôles, les techniciens occupent les studios, les stars écrivent et distribuent des tracts.
Tous descendent dans la rue pour défendre un cinéma français menacé par la déferlante hollywoodienne. L'Ecran rouge raconte une histoire oubliée, à la fois artistique et militante, à laquelle le cinéma français, l'un des plus vivants au monde, doit beaucoup.