L'Economie De La Firme. Sept Commentaires Critiques

Par : Harold Demsetz

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  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions13,6 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-912647-17-7
  • EAN9782912647177
  • Date de parution01/05/1998
  • CollectionLes essentiels de la gestion
  • ÉditeurManagement et société

Résumé

Depuis plusieurs décennies de nouvelles théories de la firme ont été avancées par divers auteurs tous anglo-saxons (Knight, Coase, Alchian, Demsetz, Marris, Klein, Williamson, etc.). Dans les deux premiers commentaires de cet ouvrage Demsetz les reprend toutes en insistant sur leurs points communs et les oppose à la théorie classique de la firme. Cela lui permet de montrer l'intérêt et les limites des différents concepts utilisés, risque, incertitude, coût d'agence, coût de transaction, coût d'information. De cette discussion émerge une théorie moderne de la firme. Le troisième commentaire porte sur le contrôle exercé par les gros actionnaires sur les dirigeants salariés des firmes. L'auteur insiste en particulier sur le rôle " productif " de l'inégalité des fortunes dans la mesure où elle fournit des actionnaires qui ont les moyens et la motivation pour agir. Ce point est probablement le plus original et le plus sujet à discussion. Le quatrième repose sur une question souvent débattue, celle de la rationalité du comportement du dirigeant de la firme et de l'investisseur. Le cinquième commentaire s'intéresse aux qualités et aux défauts des instruments comptables mesurant les profits des firmes. Le sixième commentaire examine la théorie du tournoi comme explication du montant élevé, des rémunérations des dirigeants salariés des grandes entreprises. Le septième et dernier commentaire traite de la politique américaine de concurrence et de l'évolution de la jurisprudence sur la question.
Depuis plusieurs décennies de nouvelles théories de la firme ont été avancées par divers auteurs tous anglo-saxons (Knight, Coase, Alchian, Demsetz, Marris, Klein, Williamson, etc.). Dans les deux premiers commentaires de cet ouvrage Demsetz les reprend toutes en insistant sur leurs points communs et les oppose à la théorie classique de la firme. Cela lui permet de montrer l'intérêt et les limites des différents concepts utilisés, risque, incertitude, coût d'agence, coût de transaction, coût d'information. De cette discussion émerge une théorie moderne de la firme. Le troisième commentaire porte sur le contrôle exercé par les gros actionnaires sur les dirigeants salariés des firmes. L'auteur insiste en particulier sur le rôle " productif " de l'inégalité des fortunes dans la mesure où elle fournit des actionnaires qui ont les moyens et la motivation pour agir. Ce point est probablement le plus original et le plus sujet à discussion. Le quatrième repose sur une question souvent débattue, celle de la rationalité du comportement du dirigeant de la firme et de l'investisseur. Le cinquième commentaire s'intéresse aux qualités et aux défauts des instruments comptables mesurant les profits des firmes. Le sixième commentaire examine la théorie du tournoi comme explication du montant élevé, des rémunérations des dirigeants salariés des grandes entreprises. Le septième et dernier commentaire traite de la politique américaine de concurrence et de l'évolution de la jurisprudence sur la question.