L'Ecole mystique de Lyon (1776-1847)
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- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.52 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-37092-056-0
- EAN9782370920560
- Date de parution02/01/2022
- CollectionHistoire & Patrimoine
- ÉditeurEquinoxis
- PréfacierChristian Doumergue
- PréfacierEdouard Herriot
Résumé
" C'est une des parties les plus attachantes et les plus neuves du récit de M.Joseph Buche que celle où il nous montre par quelles voies le martinisme a pénétré la pensée lyonnaise. Nous entrons dans la loge de la Bienfaisance où nous rencontrons à côté d'un ami de cet abbé Raynal, dont l'influence a été si large, certains chanoines comtes de Lyon, les trois Willermoz, de nombreux gentilshommes. Au milieu des orages de la tourmente révolutionnaire et dans l'exaltation qu'elle détermine, on découvre assurément l'origine des idées qui vont circuler dans l'ceuvre de Joseph de Maistre et de Ballanche.
On ne peut faire à l'auteur qu'un reproche : le sujet de l'étude entreprise par lui, l'action réciproque des faits sur les idées et des idées sur les faits, apparaît si manifeste qu'on accepterait, sans ennui, plus de détails et de précisions. A ce tournant de l'époque révolutionnaire, la pensée française se transforme profondément ; elle brise tous les cadres du classicisme ; elle se répand en courants dérivés de sommets tragiques ; c'est plus tard, beaucoup plus tard, que se formera le lac romantique.
On n'étudiera jamais avec trop de soin l'origine des croyances et des formes nouvelles, surtout dans ce Lyon si durement éprouvé par les heurts politiques. Toute une explication de la pensée littéraire du XIXe siècle se découvre par cette recherche. C'est l'idée exposée par M. Joseph Buche et c'es taussi notre conviction." Préface d'Edouard Herriot.
On ne peut faire à l'auteur qu'un reproche : le sujet de l'étude entreprise par lui, l'action réciproque des faits sur les idées et des idées sur les faits, apparaît si manifeste qu'on accepterait, sans ennui, plus de détails et de précisions. A ce tournant de l'époque révolutionnaire, la pensée française se transforme profondément ; elle brise tous les cadres du classicisme ; elle se répand en courants dérivés de sommets tragiques ; c'est plus tard, beaucoup plus tard, que se formera le lac romantique.
On n'étudiera jamais avec trop de soin l'origine des croyances et des formes nouvelles, surtout dans ce Lyon si durement éprouvé par les heurts politiques. Toute une explication de la pensée littéraire du XIXe siècle se découvre par cette recherche. C'est l'idée exposée par M. Joseph Buche et c'es taussi notre conviction." Préface d'Edouard Herriot.
" C'est une des parties les plus attachantes et les plus neuves du récit de M.Joseph Buche que celle où il nous montre par quelles voies le martinisme a pénétré la pensée lyonnaise. Nous entrons dans la loge de la Bienfaisance où nous rencontrons à côté d'un ami de cet abbé Raynal, dont l'influence a été si large, certains chanoines comtes de Lyon, les trois Willermoz, de nombreux gentilshommes. Au milieu des orages de la tourmente révolutionnaire et dans l'exaltation qu'elle détermine, on découvre assurément l'origine des idées qui vont circuler dans l'ceuvre de Joseph de Maistre et de Ballanche.
On ne peut faire à l'auteur qu'un reproche : le sujet de l'étude entreprise par lui, l'action réciproque des faits sur les idées et des idées sur les faits, apparaît si manifeste qu'on accepterait, sans ennui, plus de détails et de précisions. A ce tournant de l'époque révolutionnaire, la pensée française se transforme profondément ; elle brise tous les cadres du classicisme ; elle se répand en courants dérivés de sommets tragiques ; c'est plus tard, beaucoup plus tard, que se formera le lac romantique.
On n'étudiera jamais avec trop de soin l'origine des croyances et des formes nouvelles, surtout dans ce Lyon si durement éprouvé par les heurts politiques. Toute une explication de la pensée littéraire du XIXe siècle se découvre par cette recherche. C'est l'idée exposée par M. Joseph Buche et c'es taussi notre conviction." Préface d'Edouard Herriot.
On ne peut faire à l'auteur qu'un reproche : le sujet de l'étude entreprise par lui, l'action réciproque des faits sur les idées et des idées sur les faits, apparaît si manifeste qu'on accepterait, sans ennui, plus de détails et de précisions. A ce tournant de l'époque révolutionnaire, la pensée française se transforme profondément ; elle brise tous les cadres du classicisme ; elle se répand en courants dérivés de sommets tragiques ; c'est plus tard, beaucoup plus tard, que se formera le lac romantique.
On n'étudiera jamais avec trop de soin l'origine des croyances et des formes nouvelles, surtout dans ce Lyon si durement éprouvé par les heurts politiques. Toute une explication de la pensée littéraire du XIXe siècle se découvre par cette recherche. C'est l'idée exposée par M. Joseph Buche et c'es taussi notre conviction." Préface d'Edouard Herriot.