L'école de la vie. Erotique de l'acte d'apprendre
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- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.29 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-08-150429-5
- EAN9782081504295
- Date de parution02/09/2020
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Profs, parents, élèves, ce livre s'adresse à vous. Si un jour, un professeur inoubliable vous a révélé des perspectives nouvelles, si à l'inverse l'école, le collège, le lycée, déplaisent à vos enfants ou à vous-mêmes, vous trouverez ici de quoi mettre à l'épreuve votre propre expérience. Depuis deux siècles, la conviction s'est imposée que l'esprit ne travaille que lorsque le corps est contraint, immobile et silencieux.
Au contraire, Maxime Rovere montre que les savoirs sont les fruits de corps avides d'interactions, animés de blessures et de difficultés qu'il appelle des "brèches", Ce sont elles qui les poussent vers l'art d'apprendre que, depuis Le Banquet de Platon, les philosophes appellent une érotique. A cette lumière, on s'aperçoit que les institutions d'enseignement ne fournissent ni la clé de la réussite, ni un tremplin pour l'avenir, encore moins la pierre de touche du mérite ou de la valeur d'un individu.
La réussite sociale dépend du tissu relationnel où chacun évolue. L'école, elle, enseigne l'art d'interagir. Conjurant la tentation démiurgique cachée dans l'idéal de "transmission", ce livre redonne à l'enseignement comme à l'apprentissage leur profondeur et leur noblesse. Sans cesse, dans l'écoute comme dans les conflits, le dialogue des générations y réinvente la liberté.
Au contraire, Maxime Rovere montre que les savoirs sont les fruits de corps avides d'interactions, animés de blessures et de difficultés qu'il appelle des "brèches", Ce sont elles qui les poussent vers l'art d'apprendre que, depuis Le Banquet de Platon, les philosophes appellent une érotique. A cette lumière, on s'aperçoit que les institutions d'enseignement ne fournissent ni la clé de la réussite, ni un tremplin pour l'avenir, encore moins la pierre de touche du mérite ou de la valeur d'un individu.
La réussite sociale dépend du tissu relationnel où chacun évolue. L'école, elle, enseigne l'art d'interagir. Conjurant la tentation démiurgique cachée dans l'idéal de "transmission", ce livre redonne à l'enseignement comme à l'apprentissage leur profondeur et leur noblesse. Sans cesse, dans l'écoute comme dans les conflits, le dialogue des générations y réinvente la liberté.
Profs, parents, élèves, ce livre s'adresse à vous. Si un jour, un professeur inoubliable vous a révélé des perspectives nouvelles, si à l'inverse l'école, le collège, le lycée, déplaisent à vos enfants ou à vous-mêmes, vous trouverez ici de quoi mettre à l'épreuve votre propre expérience. Depuis deux siècles, la conviction s'est imposée que l'esprit ne travaille que lorsque le corps est contraint, immobile et silencieux.
Au contraire, Maxime Rovere montre que les savoirs sont les fruits de corps avides d'interactions, animés de blessures et de difficultés qu'il appelle des "brèches", Ce sont elles qui les poussent vers l'art d'apprendre que, depuis Le Banquet de Platon, les philosophes appellent une érotique. A cette lumière, on s'aperçoit que les institutions d'enseignement ne fournissent ni la clé de la réussite, ni un tremplin pour l'avenir, encore moins la pierre de touche du mérite ou de la valeur d'un individu.
La réussite sociale dépend du tissu relationnel où chacun évolue. L'école, elle, enseigne l'art d'interagir. Conjurant la tentation démiurgique cachée dans l'idéal de "transmission", ce livre redonne à l'enseignement comme à l'apprentissage leur profondeur et leur noblesse. Sans cesse, dans l'écoute comme dans les conflits, le dialogue des générations y réinvente la liberté.
Au contraire, Maxime Rovere montre que les savoirs sont les fruits de corps avides d'interactions, animés de blessures et de difficultés qu'il appelle des "brèches", Ce sont elles qui les poussent vers l'art d'apprendre que, depuis Le Banquet de Platon, les philosophes appellent une érotique. A cette lumière, on s'aperçoit que les institutions d'enseignement ne fournissent ni la clé de la réussite, ni un tremplin pour l'avenir, encore moins la pierre de touche du mérite ou de la valeur d'un individu.
La réussite sociale dépend du tissu relationnel où chacun évolue. L'école, elle, enseigne l'art d'interagir. Conjurant la tentation démiurgique cachée dans l'idéal de "transmission", ce livre redonne à l'enseignement comme à l'apprentissage leur profondeur et leur noblesse. Sans cesse, dans l'écoute comme dans les conflits, le dialogue des générations y réinvente la liberté.