L'art de la caricature

Par : Ségolène Le Men

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  • Nombre de pages350
  • PrésentationBroché
  • Poids0.704 kg
  • Dimensions19,0 cm × 25,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-84016-072-4
  • EAN9782840160724
  • Date de parution07/12/2011
  • CollectionLes arts en correspondance
  • ÉditeurPU Paris Ouest

Résumé

Cet ouvrage aborde la question de la caricature, longtemps tenue pour un art mineur, à partir d'approches qui en ont renouvelé l'étude. Il réunit des contributions d'historiens de l'art et de littéraires venus d'horizons divers, depuis Montréal et New York jusqu'à Vienne, en passant par Dijon, Strasbourg et Paris. Il s'efforce d'en apprécier autant la portée expérimentale et novatrice, tout à la fois pratique et théorique, que l'engagement politique, social et polémique, et les implications esthétiques.
Cet art moderne et graphique qui a recours au rire comme à une arme procède d'une anthropologie de l'image associée à l'histoire du corps et des émotions. L'essor de la caricature s'effectue à la jonction du croquis et du dessin de presse en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle, puis en France sous la Monarchie de Juillet, avant de s'internationaliser à la fin du XIXe siècle et de se poursuivre jusqu'à nos jours comme une expression dynamique et gestuelle, celle du trait.
La caricature est ici abordée comme un langage en métamorphose, dont les usages sont analysés à partir d'études de cas, qui en abordent les genres, les thèmes, les registres, les tons et la pluralité des modes d'expression. L'industrie du recyclage y devient un art qui se prête à d'innombrables variations imagées. Les salons caricaturaux engagent une réflexion critique sur les arts, tout en procédant de la critique d'art ; ils ouvrent aussi la voie aux formes de l'abstraction.
La question de l'intermédialité permet d'interroger d'un essai à l'autre les portraits-charges visant Émile Zola, les dessins satiriques d'Albert Robida et d'André Rouveyre, le rapport du texte et de l'image dans les histoires en images de Gustave Doré, la bande dessinée dans la presse fin de siècle, la culture des cabarets et le cinématographe de Serguei Eisenstein, dessinateur-cinéaste inspiré par Honoré Daumier.
Cet ouvrage aborde la question de la caricature, longtemps tenue pour un art mineur, à partir d'approches qui en ont renouvelé l'étude. Il réunit des contributions d'historiens de l'art et de littéraires venus d'horizons divers, depuis Montréal et New York jusqu'à Vienne, en passant par Dijon, Strasbourg et Paris. Il s'efforce d'en apprécier autant la portée expérimentale et novatrice, tout à la fois pratique et théorique, que l'engagement politique, social et polémique, et les implications esthétiques.
Cet art moderne et graphique qui a recours au rire comme à une arme procède d'une anthropologie de l'image associée à l'histoire du corps et des émotions. L'essor de la caricature s'effectue à la jonction du croquis et du dessin de presse en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle, puis en France sous la Monarchie de Juillet, avant de s'internationaliser à la fin du XIXe siècle et de se poursuivre jusqu'à nos jours comme une expression dynamique et gestuelle, celle du trait.
La caricature est ici abordée comme un langage en métamorphose, dont les usages sont analysés à partir d'études de cas, qui en abordent les genres, les thèmes, les registres, les tons et la pluralité des modes d'expression. L'industrie du recyclage y devient un art qui se prête à d'innombrables variations imagées. Les salons caricaturaux engagent une réflexion critique sur les arts, tout en procédant de la critique d'art ; ils ouvrent aussi la voie aux formes de l'abstraction.
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