L'art carolingien
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- Nombre de pages255
- PrésentationBroché
- Poids0.6 kg
- Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 1,7 cm
- ISBN2-08-011449-2
- EAN9782080114495
- Date de parution10/11/2005
- CollectionTout l'Art
- ÉditeurFlammarion
Résumé
De l'époque carolingienne, on retient souvent l'immense stature de Charlemagne et le prestige de la dynastie qu'il inaugura. Volet initial d'un triptyque culturel annonçant les Ages roman et gothique, ce moment artistique est longtemps apparu comme l'apogée de la création haut médiévale, offrant la première grande définition des valeurs artistiques de l'Europe chrétienne. La synthèse qui nous est ici présentée dresse un panorama de l'art de cette période, mais va plus loin puisqu'elle en renouvelle l'approche. Elle se propose en effet de replacer l'art carolingien au fil d'une progression de bien plus ample volée, en se basant sur de nombreuses données inédites issues des recherches menées dans le champ de l'archéologie paléochrétienne et des arts du " premier " haut Moyen Age. Ainsi, la prise en compte des prémices, avec les réalisations importantes du règne de Pépin le Bref dès le milieu du VIIIe siècle, mais aussi l'analyse des œuvres produites dans la mouvance de Charles le Chauve dans les décennies 840-870, ou encore l'attention portée au mécénat des hauts dignitaires, conduiront à une sensible réorientation de la réflexion sur le sujet. Enfin, l'accent mis sur l'étude de la finalité des œuvres permettra de mieux appréhender l'esprit des concepteurs de cet art.
De l'époque carolingienne, on retient souvent l'immense stature de Charlemagne et le prestige de la dynastie qu'il inaugura. Volet initial d'un triptyque culturel annonçant les Ages roman et gothique, ce moment artistique est longtemps apparu comme l'apogée de la création haut médiévale, offrant la première grande définition des valeurs artistiques de l'Europe chrétienne. La synthèse qui nous est ici présentée dresse un panorama de l'art de cette période, mais va plus loin puisqu'elle en renouvelle l'approche. Elle se propose en effet de replacer l'art carolingien au fil d'une progression de bien plus ample volée, en se basant sur de nombreuses données inédites issues des recherches menées dans le champ de l'archéologie paléochrétienne et des arts du " premier " haut Moyen Age. Ainsi, la prise en compte des prémices, avec les réalisations importantes du règne de Pépin le Bref dès le milieu du VIIIe siècle, mais aussi l'analyse des œuvres produites dans la mouvance de Charles le Chauve dans les décennies 840-870, ou encore l'attention portée au mécénat des hauts dignitaires, conduiront à une sensible réorientation de la réflexion sur le sujet. Enfin, l'accent mis sur l'étude de la finalité des œuvres permettra de mieux appréhender l'esprit des concepteurs de cet art.