L'armée allemande en 1918

Par : Henri Ortholan

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  • Nombre de pages98
  • PrésentationBroché
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions19,0 cm × 26,0 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-916385-41-9
  • EAN9782916385419
  • Date de parution16/09/2009
  • CollectionLes armées belligérantes
  • ÉditeurSoteca

Résumé

En 1914, l'armée allemande est, à bien des égards, la meilleure armée du monde. Mais comme celles de tous les belligérants, elle connaît, jusqu'en 1918, une évolution inévitable. En quatre ans de guerre, elle procède à des adaptations liées à la durée du conflit qui lui permettent de rester un outil redoutable, malgré une situation défavorable due à son isolement géographique. Tablant sur une guerre courte, c'est-à-dire sur des victoires décisives à obtenir dans les premières semaines, mais faute d'avoir pu abattre la France en septembre 1914, elle se voit contrainte de soutenir un conflit long et sur plusieurs fronts pour lequel elle n'était pas plus préparée que les autres armées. Le blocus de ses côtes, mené avec détermination par les Alliés, finit, à terme, par affamer la population allemande, par entraîner des difficultés dans la production industrielle de guerre et par peser sur l'état de la troupe. Certes, l'Allemagne parvient à soutenir un effort d'armement impressionnant, en 1918 encore. Mais son armée manque de chevaux pour tirer les pièces d'artillerie, manque de carburant pour ses moyens motorisés, et elle ne peut plus nourrir et habiller correctement ses combattants.
En 1914, l'armée allemande est, à bien des égards, la meilleure armée du monde. Mais comme celles de tous les belligérants, elle connaît, jusqu'en 1918, une évolution inévitable. En quatre ans de guerre, elle procède à des adaptations liées à la durée du conflit qui lui permettent de rester un outil redoutable, malgré une situation défavorable due à son isolement géographique. Tablant sur une guerre courte, c'est-à-dire sur des victoires décisives à obtenir dans les premières semaines, mais faute d'avoir pu abattre la France en septembre 1914, elle se voit contrainte de soutenir un conflit long et sur plusieurs fronts pour lequel elle n'était pas plus préparée que les autres armées. Le blocus de ses côtes, mené avec détermination par les Alliés, finit, à terme, par affamer la population allemande, par entraîner des difficultés dans la production industrielle de guerre et par peser sur l'état de la troupe. Certes, l'Allemagne parvient à soutenir un effort d'armement impressionnant, en 1918 encore. Mais son armée manque de chevaux pour tirer les pièces d'artillerie, manque de carburant pour ses moyens motorisés, et elle ne peut plus nourrir et habiller correctement ses combattants.
1918
Bernard Giovanangeli, Eric Labayle, Henri Ortholan
Album
38,00 €