L'architecture religieuse au XIXe siècle. Entre éclectisme et rationalisme
Par : ,Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages363
- PrésentationBroché
- Poids0.66 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,4 cm
- ISBN2-84050-442-1
- EAN9782840504429
- Date de parution15/09/2006
- CollectionArt'hist
- ÉditeurPU Paris-Sorbonne
Résumé
Après la formidable vitalité de la Contre-Réforme et un XVIIIe siècle qui préféra revenir aux formes néo-classiques, avant les innovations majeures des frères Perret et de Le Corbusier au XXe siècle, le XIXe siècle est une période singulière en matière d'architecture religieuse. Une période singulièrement plurielle ! Coïncidant avec le retour du catholicisme comme religion d'état et une pratique religieuse de type néo-janséniste, l'art religieux de cette période s'illustre dans la défense et l'illustration de styles divers dont émerge le néo-roman allant du Rundbegenstil du premier tiers du siècle jusqu'au néo-byzantin. A cette problématique purement stylistique se greffe la question nouvelle d'une fabrication plus rationnelle et plus économique des lieux de cultes ainsi que leur insertion dans un paysage de plus en plus urbanisé. Bientôt quand l'homme se rendra à l'usine pour assurer sa survie alimentaire quand son ancêtre se rendait à l'église pour assurer son salut, les nouveaux édifices monumentaux sur lesquels les yeux s'arrêteront né seront plus les flèches des cathédrales mais les cheminées d'usines.
Après la formidable vitalité de la Contre-Réforme et un XVIIIe siècle qui préféra revenir aux formes néo-classiques, avant les innovations majeures des frères Perret et de Le Corbusier au XXe siècle, le XIXe siècle est une période singulière en matière d'architecture religieuse. Une période singulièrement plurielle ! Coïncidant avec le retour du catholicisme comme religion d'état et une pratique religieuse de type néo-janséniste, l'art religieux de cette période s'illustre dans la défense et l'illustration de styles divers dont émerge le néo-roman allant du Rundbegenstil du premier tiers du siècle jusqu'au néo-byzantin. A cette problématique purement stylistique se greffe la question nouvelle d'une fabrication plus rationnelle et plus économique des lieux de cultes ainsi que leur insertion dans un paysage de plus en plus urbanisé. Bientôt quand l'homme se rendra à l'usine pour assurer sa survie alimentaire quand son ancêtre se rendait à l'église pour assurer son salut, les nouveaux édifices monumentaux sur lesquels les yeux s'arrêteront né seront plus les flèches des cathédrales mais les cheminées d'usines.