Camille Pissarro écrivait à Paul Signac le 30 août 1888 : "...Je vous recommande l'aquarelle, c'est précieux, très pratique. On peut arriver en quelques minutes à prendre des notes impensables autrement, la fluidité d'un ciel, certaines transparences, un tas de petits renseignements qu'un long travail ne peut donner : c'est fugitif, les effets...". Comment mieux dire l'essence d'une technique qui est aussi un art de noter avant de peindre, sinon de peindre tout simplement ?
Fugitive et dense, l'aquarelle est très souvent liée au voyage ou à la randonnée, à la capture d'une vision fugace, touffe d'arbres, morceau de ciel... A la fois histoire d'un art et propédeutique à un médium dépouillé et subtil, ce livre parcourt les siècles, du Moyen Age à l'époque contemporaine. On lira avec profit les deux autres titres de cette série consacrée au "Métier de l'artiste" : Le Pastel et La Peinture à l'huile.
Camille Pissarro écrivait à Paul Signac le 30 août 1888 : "...Je vous recommande l'aquarelle, c'est précieux, très pratique. On peut arriver en quelques minutes à prendre des notes impensables autrement, la fluidité d'un ciel, certaines transparences, un tas de petits renseignements qu'un long travail ne peut donner : c'est fugitif, les effets...". Comment mieux dire l'essence d'une technique qui est aussi un art de noter avant de peindre, sinon de peindre tout simplement ?
Fugitive et dense, l'aquarelle est très souvent liée au voyage ou à la randonnée, à la capture d'une vision fugace, touffe d'arbres, morceau de ciel... A la fois histoire d'un art et propédeutique à un médium dépouillé et subtil, ce livre parcourt les siècles, du Moyen Age à l'époque contemporaine. On lira avec profit les deux autres titres de cette série consacrée au "Métier de l'artiste" : Le Pastel et La Peinture à l'huile.