L'apocalypse selon Godzilla. Le Japon et ses monstres
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- Nombre de pages312
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids0.88 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,6 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-37784-165-3
- EAN9782377841653
- Date de parution08/04/2021
- ÉditeurThird Editions
Résumé
La première vision du Godzilla de 1954, réalisé par Ishiro Honda et Eiji Tsuburaya, s'avère souvent déroutante. Bien loin de l'image pop qu'il véhicule aujourd'hui, le Roi des Monstres incarnait, à ses débuts, la somme de toutes les peurs du Japon. La série est l'une des licences les plus prolifiques de l'histoire du cinéma. De 1954 à nos jours, chaque film a porté les stigmates de son époque, faisant de Godzilla un précieux témoin historique du mal-être de son pays d'adoption.
De témoin apocalyptique à icône pop destinée aux plus jeunes, le monstre a évolué au fil des tendances, s'aventurant dans divers genres cinématographiques, mais il n'en a pas moins gardé un sous-texte éminemment politique et social. Dans L'Apocalypse selon Godzilla. Le Japon et ses monstres, Nicolas Deneschau et Thomas Giorgetti décortiquent cette franchise qui s'est réinventée à de nombreuses reprises.
Cet ouvrage analytique, qui s'intéresse tant aux coulisses des longs-métrages qu'aux thématiques sociétales liées à l'histoire du Japon, ravira les néophytes comme les fans les plus exigeants.
De témoin apocalyptique à icône pop destinée aux plus jeunes, le monstre a évolué au fil des tendances, s'aventurant dans divers genres cinématographiques, mais il n'en a pas moins gardé un sous-texte éminemment politique et social. Dans L'Apocalypse selon Godzilla. Le Japon et ses monstres, Nicolas Deneschau et Thomas Giorgetti décortiquent cette franchise qui s'est réinventée à de nombreuses reprises.
Cet ouvrage analytique, qui s'intéresse tant aux coulisses des longs-métrages qu'aux thématiques sociétales liées à l'histoire du Japon, ravira les néophytes comme les fans les plus exigeants.
La première vision du Godzilla de 1954, réalisé par Ishiro Honda et Eiji Tsuburaya, s'avère souvent déroutante. Bien loin de l'image pop qu'il véhicule aujourd'hui, le Roi des Monstres incarnait, à ses débuts, la somme de toutes les peurs du Japon. La série est l'une des licences les plus prolifiques de l'histoire du cinéma. De 1954 à nos jours, chaque film a porté les stigmates de son époque, faisant de Godzilla un précieux témoin historique du mal-être de son pays d'adoption.
De témoin apocalyptique à icône pop destinée aux plus jeunes, le monstre a évolué au fil des tendances, s'aventurant dans divers genres cinématographiques, mais il n'en a pas moins gardé un sous-texte éminemment politique et social. Dans L'Apocalypse selon Godzilla. Le Japon et ses monstres, Nicolas Deneschau et Thomas Giorgetti décortiquent cette franchise qui s'est réinventée à de nombreuses reprises.
Cet ouvrage analytique, qui s'intéresse tant aux coulisses des longs-métrages qu'aux thématiques sociétales liées à l'histoire du Japon, ravira les néophytes comme les fans les plus exigeants.
De témoin apocalyptique à icône pop destinée aux plus jeunes, le monstre a évolué au fil des tendances, s'aventurant dans divers genres cinématographiques, mais il n'en a pas moins gardé un sous-texte éminemment politique et social. Dans L'Apocalypse selon Godzilla. Le Japon et ses monstres, Nicolas Deneschau et Thomas Giorgetti décortiquent cette franchise qui s'est réinventée à de nombreuses reprises.
Cet ouvrage analytique, qui s'intéresse tant aux coulisses des longs-métrages qu'aux thématiques sociétales liées à l'histoire du Japon, ravira les néophytes comme les fans les plus exigeants.