L'Année de la la grande peste. Journal d'Alice Paynton 1665-1666
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- Nombre de pages186
- PrésentationBroché
- Poids0.27 kg
- Dimensions13,5 cm × 19,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-07-051154-5
- EAN9782070511549
- Date de parution14/04/2005
- CollectionMon Histoire
- ÉditeurGallimard
- TraducteurAlice Seelow
Résumé
"3 juillet 1665. Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter : la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste est bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J'ai refusé de m'en aller sans mon chien et papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme.
On m'a envoyée me renseigner sur les horaires des péniches, mais quelque chose m'a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : "Dieu ait pitié de nous"".
On m'a envoyée me renseigner sur les horaires des péniches, mais quelque chose m'a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : "Dieu ait pitié de nous"".
"3 juillet 1665. Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter : la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste est bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J'ai refusé de m'en aller sans mon chien et papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme.
On m'a envoyée me renseigner sur les horaires des péniches, mais quelque chose m'a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : "Dieu ait pitié de nous"".
On m'a envoyée me renseigner sur les horaires des péniches, mais quelque chose m'a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : "Dieu ait pitié de nous"".