L'ange fait la bête. "L'humanisme postmoderne"

Par : Bertrand Souchard
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  • Nombre de pages153
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-14-034874-7
  • EAN9782140348747
  • Date de parution26/06/2023
  • CollectionOuverture philosophique. Débat
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Qu'est-ce qu'une personne humaine pour notre société postmoderne ? Une histoire de l'humanisme peut aider à répondre à cette question. L'humanisme grec est pluriel mais centré sur la nature. L'humanisme médiéval et chrétien s'appuie sur la Révélation de Dieu. L'humanisme moderne est anthropocentrique. L'humanisme postmoderne serait "angélocentrique ", achèvement d'un détachement de la nature et de Dieu.
Le propos de Pascal se réalise : "L'Homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête". La vision postmoderne de l'Homme est en fait post-humaniste, une gnose : un dualisme corps/esprit, un salut par la connaissance, un relativisme éthique, un rejet de la révélation de Dieu, un retrait du monde ou de la nature. Le retrait du christianisme n'est pas la fin du religieux, mais le retour ou l'émergence de spiritualités immanentes.
Les bêtises de l'angélisme postmoderne s'appellent transhumanisme, wokisme, écologisme, animalisme.
Qu'est-ce qu'une personne humaine pour notre société postmoderne ? Une histoire de l'humanisme peut aider à répondre à cette question. L'humanisme grec est pluriel mais centré sur la nature. L'humanisme médiéval et chrétien s'appuie sur la Révélation de Dieu. L'humanisme moderne est anthropocentrique. L'humanisme postmoderne serait "angélocentrique ", achèvement d'un détachement de la nature et de Dieu.
Le propos de Pascal se réalise : "L'Homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête". La vision postmoderne de l'Homme est en fait post-humaniste, une gnose : un dualisme corps/esprit, un salut par la connaissance, un relativisme éthique, un rejet de la révélation de Dieu, un retrait du monde ou de la nature. Le retrait du christianisme n'est pas la fin du religieux, mais le retour ou l'émergence de spiritualités immanentes.
Les bêtises de l'angélisme postmoderne s'appellent transhumanisme, wokisme, écologisme, animalisme.